Les malheurs de Clotilde Ch. 16 - Histoires de Sexe

Les malheurs de Clotilde Ch. 16

... plus tard, quand tu devras te comporter de la même façon.

J'obéis, je suis déterminée à appeler les flics dès que possible. Mais pour cela, pour qu'ils baissent leurs garde, je dois me comporter comme une fille soumise, afin qu'ils pensent qu'ils ont gagnés.

Je mate donc cette simulation de coït pseudo-consensuel. Le docteur la prend pendant un gros quart-d'heure avant de se planter en elle et de gémir. Quand il se retire, j'entends l'infirmière dire :

- Merci d'avoir donné votre divine semence à mon corps de chienne.

Puis elle se retourne, s'agenouille et suce le sexe maintenant à demi-mou de l'américain. Pendant une trentaine de secondes, elle le garde en bouche, puis elle cesse sa pipe. Elle vient de le nettoyer.

- J'ai envie de pisser.

Je suis retournée, cela me rappelle ce que j'ai vécu avec Greg et les autres... L'infirmière ouvre la bouche, le docteur pose son gland et urine. Elle me tourne le dos, mais j'entends distinctement ses bruits de déglutition. Quand il a fini, de la langue elle nettoie la dernière goutte.

- Merci docteur de m'avoir utilisée comme WC humain.

Pour réponse, il lui lance un petit paquet de mouchoir en papier, qu'il vient de sortir de la poche de son pantalon.

- Nettoie ta chatte et le sperme sur le sol avec. Tu as de la chance que j'ai d'autres trucs à faire, sinon je t'aurais fait nettoyer avec la langue.

Il range son sexe, avant de partir, il lance à l'infirmière nue, en train d'essuyer la semence qui coule de son ...

... vagin.

- Montre-lui des vidéos de dressages et de punitions. Pour qu'elle voit que ce qu'elle a vécu peut devenir bien pire à l'avenir.

Ninon :

Alors que son quatrième violeur commence à l'enculer, Ninon tente, en vain, de se soustraire à la montée interne d'une affreuse et immonde douleur, qui gonfle son ventre, tout en irradiant en elle, dans tout son être, à la façon d'un éclatant soleil. L'intromission de l'énorme pieu dans son corps est une torture sans nom. Le sauvage la maintien de ses grosses mains, crispées sur ses hanches souples, avec une telle force, une telle violence, qu'elle est totalement incapable de se dérober au pilon qui commence d'aller-et-venir en ses entrailles qu'il massacre. La jeune et magnifique prof a atrocement mal. L'impression puissante d'être ouverte en deux, demeure en elle, se faisant de plus en plus présente. Elle est persuadée que son cul va se déchirer, d'abord en sa rosette, puis se fendre en deux, à la raie des fesses. Une douleur si lancinante la cisaille, qu'elle en devient folle. Son supplice grandit au rythme dont il la fout, la sodomisant comme jamais elle ne l'a été.

Aujourd'hui tout est différent de ce que Vladimir lui a fait connaître. On lui casse littéralement le pot, sans préparation, ni lubrification : à sec! Sans amour, cela va sans dire, mais surtout sans précaution, son bourreau se moquant des dégâts qu'il peut faire. En plus le fait d'être sodomisée aussi violemment, contre son gré, fait que ses muscles ne se ...