Les malheurs de Clotilde Ch. 16
Datte: 28/07/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... elle.
La lourde queue s'agite dans sa moule avec une frénésie implacable. Disposée comme l'est Ninon, chatte projetée au-devant de l'agresseur, la malheureuse pressent cruellement la moindre vibration qu'on lui inflige. Comme il s'agit non seulement de vibrations, mais aussi de véritables coups de cognée... même si ce n'est seulement le gros manche de celle-ci que l'on utilise, l'épreuve lui paraît d'autant plus redoutable et douloureuse. Les hululements qu'elle pousse le prouvant aux oreilles de son violeur, comme des spectateurs.
Son corps malmené tremble à chaque coup de bite, ses seins volent en tous sens. Si son bassin se trémousse, ce n'est hélas pas de plaisir, mais pour trouver l'angle le moins douloureux.
Quand il se met à la violer au maximum de sa puissance, Ninon chante comme cette sorte de mâle aime à faire gueuler les femelles qu'il fout, sur toutes les octaves, de la plus grave à la plus aiguë. Sa voix déformée trahit désarroi et souffrance. Elle est celle d'un enfant torturé au fer rouge, tout en étant battu à coups de gourdin.
Toutefois, ce gourdin conséquent, Ninon va le sentir d'une toute autre manière, en apprécier autrement la dureté, le calibre et la longueur. À un moment, alors qu'il la possède avec le plus de violence possible, la brute sort son braquemart de l'écrin à vif qu'il fouaille. Il remonte de quelques centimètres dans le sillon culier. Trouvant sans coup férir, le plus petit orifice de sa victime, il presse sa pointe contre la ...
... cible palpitante, puis forçant comme un damné, s'engouffre dans l'anus, brisant la résistance du sphincter, il plonge avec un « Han! » de bûcheron dans le rectum puis les intestins.
Vladimir l'a déjà sodomisée. Toujours avec brutalité, mais après avoir utilisé de la vaseline, pour lubrifier sa bite, comme le trou-du-cul de Ninon. Elle n'a jamais aimé cela, a toujours eu mal. Mais là, à sec, c'est encore pire...
La femme empalée a l'impression que l'énorme bite ne s'arrêtera que lorsqu'elle sera venu buter contre son estomac, ou pire, contre ses poumons. Jamais elle n'a connu sensation aussi puissante. Et Ninon espère bien, si tant est qu'elle puisse encore garder un espoir, ne la connaître plus jamais.
Son cri fut, cette fois, un long hurlement à la mort.
Moi :
J'ai tentée plusieurs fois de nouer le dialogue avec Géraldine, la belle infirmière rousse, au moins une dizaine d'essais. À chaque fois, c'est la même réponse : "Je n'ai pas le droit de vous parler." Merde, la police, mon mari, tout le monde me recherche, et elle qui peut sans doute les prévenir ne veut pas m'écouter... La phrase est dîtes toujours sur le même ton froid. Je décide de tenter le coup une onzième fois :
- S'il-vous-plaît, dîtes m'en plus sur ce qu'il se passe. J'ai besoin de savoir...
- Je n'ai pas le droit de vous parler.
- Allez, personne n'en sera rien.
Elle semble réfléchir quelques secondes, se demandant sans doute si elle a le droit de dire ce qu'elle va me dire.
- Ils ...