Confessions de femmes mûres (fin)
Datte: 27/07/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
médical,
grosseins,
groscul,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
chronique,
totalsexe,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... sorti deux verres. Pendant qu’on sirotait les bulles, je le voyais guettant l’écartement de mes cuisses dodues, largement découvertes par ma petite robe. Je ne portais pas de slip, je voulais qu’il en fasse la découverte de manière la plus fugitive possible, entre deux croisements de jambes. J’ai vu à son regard, déjà allumé par le champagne(autant que le mien), qu’il avait vu. Je ne fus pas étonnée de le voir poser son verre et venir s’asseoir sur ma bergère à côté de moi, m’enlaçant aussitôt.
On s’est embrassés, pelotés, papouillés, jusqu’au moment où je lui ai dit :
— Viens, on va dans ma chambre.
On savait l’un l’autre parfaitement ce qu’on voulait. C’est l’avantage d’un âge où l’on n’en est plus à se servir de l’alibi de l’amour pour faire l’amour. Je voulais sa bite, il voulait mon cul. On avait envie de baiser, de cochonner, à poil, en pleine lumière, en s’excitant mutuellement de mots crus. Il savait, pour avoir lu sur Facebook dans nos échanges chauds, que j’aime tout dans le sexe. Encore fallait-il qu’il assure, ce que le réseau social n’assurait pas a priori.
On a donc fait, une fois nus sur mon lit, ce qu’un homme et une femme qui ont envie l’un de l’autre sont disposés à faire pour jouir. D’abord, découvrir nos corps avant de les consommer, de la main, de la bouche, et bien sûr des yeux. Alphonse s’intéressa beaucoup à mes seins et à mes fesses tandis que je m’occupais de son gland et de ses couilles. D’un accord tacite, nous avons retardé le plus ...
... longtemps possible le moment, tant attendu, de la pénétration. Quand il fut vraiment long et rigide, je l’ai invité à venir me rendre visite avec cette recommandation :
— Vas-y, à fond, ne me ménage pas, secoue-moi. Baise-moi.
Ce qui fut fait. Je ne détaille pas ici le détail de nos positions successives. Elles n’ont rien d’original, ce sont celles de tous les couples qui s’entendent bien au lit et qui veulent faire durer le plaisir. Alphonse avait cet avantage important de savoir durer. En retour, je lui ai offert ce que certaines femmes n’offrent pas : mon cul. J’ai vite compris qu’il l’inspirait, et qu’il voulait me sodomiser, à sa manière passionnée de me lécher le petit trou. Comme je jouis facilement par là aussi, ce fut notre bouquet final. Quand la peau de son ventre a claqué sur mes fesses joufflues, je me suis laissée aller à l’orgasme anal tandis que je sentais son jus gicler dans mon rectum. Il est resté fiché en moi pendant que je m’aplatissais, jusqu’à devenir tout mou. C’était fait, on avait baisé. Il avait baisé l’aide-soignante de Facebook.
Je raconte ça alors que c’est encore tout neuf. Quelle va devenir notre relation ? Je n’en sais fichtrement rien. Nous sommes libres tous les deux, mais pas au point, je pense, de se mettre en ménage. Néanmoins, je sens qu’on va rebaiser. Je me verrais bien me faire sauter en plein air, par exemple. J’adore ça. Ou dans ma cuisine. Ou sous la douche. Je vais lui en parler, mais pas sur Facebook. Le virtuel, c’est ...