Confessions de femmes mûres (fin)
Datte: 27/07/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
médical,
grosseins,
groscul,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
chronique,
totalsexe,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
u>Résumé des épisodes précédents :
Cette série évoque des aventures plus sexuelles qu’amoureuses pour des femmes mûres. Il s’agit du dernier épisode.
Je m’appelle Viviane, j’ai 51 ans, je suis aide-soignante dans une clinique d’une grande métropole, je suis divorcée, physiquement du genre plantureux, mais sans excès vu que mon boulot me bouffe beaucoup de calories emmagasinées par ailleurs. Il m’est arrivé une drôle d’aventure que je vais conter ici. Je travaille dans un service de cardiologie et en prenant mon service de nuit avec l’infirmière Gaëlle, j’ai fait la connaissance d’un homme d’entre deux âges à qui l’on venait de doter d’un pace maker. Quelle ne fut pas ma surprise, alors que je venais de prendre son urinal pour le verser dans les toilettes(ça fait partie de mon job), de l’entendre dire : « bonsoir Viviane » !
Je l’ai dévisagé, avec surprise. Je ne connaissais pas ce type. Mais lui me connaissait. Il était mon ami sur Facebook avec un faux nom et un faux visage. Il se présenta, le sourire aux lèvres, sous son pseudo « Alphonse ». J’ai failli en lâcher l’urinal, ce qui aurait fait de beaux dégâts, car il était plein. Ce type auquel je m’étais confié savait presque tout de ma vie, en particulier ma vie sexuelle. Je m’étais beaucoup lâchée en message privé, puis carrément sur son email de circonstance. Il connaissait mon goût pour le sexe. Je lui avais raconté mes ébats avec ma dernière relation, un Belge prénommé Patrick. Je lui avais même avoué ...
... avoir fréquenté un club échangiste avec un amant précédent. Toutes ces imprudences me sautaient désormais à la figure. Voyant ma mine déconfite, il me rassura :
— Rassurez-vous Viviane, tout ça reste strictement entre nous. Je suis juste ravi de faire votre connaissance en réel et plus en virtuel. J’avoue que vous ne me décevez pas. Vous êtes une belle femme et j’envie vos amants. Surtout que vous n’êtes pas du genre à les décevoir.
Ces allusions à mon tempérament volcanique au plumard n’avaient cependant rien pour me rassurer. Il me tenait, le bougre. Si Gaëlle et les autres collègues savaient qui était réellement Viviane dans le privé, ça allait être ma fête. D’autant que je ne lui avais pas caché quelques frasques à l’intérieur de la clinique avec quelques collègues alléchés par mes rondeurs et mon célibat.
Après avoir vidé l’urinal dans les WC, je suis retournée à notre bureau. Gaëlle avait vu à ma mine que j’avais un souci et s’en inquiéta. Je prétextai une digestion difficile, ce qui n’était pas complètement faux, mais quand elle m’envoya dans la chambre d’Alphonse faire un électrocardiogramme et une prise de tension, je n’en menais pas large.
Mais il me rassura encore. J’ai fini par me détendre, même par sourire. Après tout, la situation était assez cocasse. J’aimais beaucoup l’Alphonse virtuel et je l’avais devant moi à moitié nu dans le lit, en réel. Je découvrais qu’il était bel homme. Je le taquinai sur son pacemaker tout en lui disant qu’il allait vite ...