1. Confessions de femmes mûres (fin)


    Datte: 27/07/2025, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail médical, grosseins, groscul, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession, chronique, totalsexe, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... retrouver son dynamisme. C’était une allusion à ses histoires de cul, dont il n’était pas avare à la narration, car lui aussi avait fait des confidences. Il me demanda s’il me serait possible de le retrouver dans la nuit, après mes obligations, « pour parler », me dit-il. Je lui dis qu’il n’avait qu’à m’appeler avec la commande d’alarme et j’expliquerai à Gaëlle que c’était de sa part un petit moment d’angoisse à rassurer. On aura compris que j’avais fini par être assez excitée par la présence de mon confident virtuel sur mon lieu de travail, par le plus grand des hasards.
    
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    Il m’appela, comme prévu, vers deux heures du matin. Les malades ont souvent des insomnies… je n’eus pas de mal à justifier mon intervention à Gaëlle, mais je ne pouvais guère m’attarder. On a commencé par parler de mon boulot et on a vite embrayé sur le cul. Je lui ai avoué que je n’avais pas eu d’homme depuis un certain temps, que ça me manquait. Il me parla de mon Belge, que je ne voyais plus guère. Les descriptions de nos ébats l’avaient particulièrement excité, surtout quand il m’avait emmenée dans un club échangiste où je m’étais distinguée en me faisant sauter par deux mecs en plus de lui. J’ai vu alors une excroissance sur le drap que la mince chasuble hospitalière ne pouvait guère contenir.
    
    — Je vois que tu commences déjà aller mieux, lui dis-je, un sourire en coin, en désignant sa bandaison.
    
    Il a alors écarté le drap et m’a montré son pénis. Je l’ai vite recouvert. Non que je ...
    ... n’avais pas envie de le branler, mais c’était trop risqué. Gaëlle pouvait arriver d’une minute à l’autre pour s’inquiéter de mon absence. Mais cette vision m’avait excitée.
    
    — Alphonse, on ne peut pas faire ça là. Mais quand tu sortiras, si tu veux, tu pourras venir chez moi.
    — Tu as envie que je te baise ?
    — Ne crie pas victoire trop vite. Remets-toi d’abord. J’ai horreur d’être déçue.
    
    Sur ce, je me suis éclipsée, en lui recommandant de dormir, tout en sachant que c’était peine perdue. J’ai rassuré Gaëlle sur l’état de notre patient. Au petit matin, j’ai retrouvé Alphonse pour les examens habituels. J’étais redevenue aide-soignante.
    
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    Trois jours plus tard, je recevais un message d’Alphonse sur Facebook me rappelant ma proposition. Il m’assurait être en pleine forme, me demandait si je l’étais aussi. J’ai joué l’incertitude. Je ne voulais pas qu’il croie que je n’attendais que lui, mais j’avais vraiment envie de baiser. Sa bite, que j’avais vue en demi-érection, me poursuivait dans mes pensées. J’ai fini par lui donner rendez-vous à mon domicile. Il est arrivé un soir avec une bouteille de champagne. J’avais mis une petite robe bien décolletée mettant mes gros nichons en valeur, et soigné mon maquillage… Rien à voir avec la fille de la clinique et son ensemble tunique-pantalon blancs. Ses yeux pétillaient en me regardant :
    
    — Tu es nettement plus belle que dans ta tenue asexuée d’aide-soignante, me dit-il.
    
    Je l’ai fait asseoir sur mon canapé après avoir ...
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