1. La vie de Sophie Ch 01


    Datte: 27/07/2025, Catégories: Lesbienne Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... rapidement je compris aussi qu'elle ne l'aurait pas accepté non plus.
    
    Le matin de notre première nuit, j'étais repassée chez moi pour me changer, avant d'aller travailler. Sophie dormait encore, magnifique, sur le dos, je voyais à peine le goulot émerger de ses jolies fesses. En les voyant une envie nouvelle m'était venue que j'avais bien envie de mettre à exécution rapidement. Je décidais de sauter le repas pour pouvoir partir avant la fermeture des magasins. Nos regards étaient intenses chaque fois que nous nous croisions, mais rien ne laissait paraître les souvenirs de la nuit précédente. Je me demandais si cela n'avait pas été un jeu de sa part, si ce soir elle ne me rirait pas au nez, si je ne m'étais pas fait un cinéma, ou pire, faite manipuler. Ma paranoïa commençait à monter, m'accrochant à des petits riens insignifiants que je chargeais de signes invisibles.
    
    Passant dans le couloir devant le bureau de Sophie, celle-ci me vit, son regard ne me lâchant pas, je m'arrêtais. Elle déplia alors sa jambe sur laquelle elle s'était assise, pour ne plus reposer que sur ses fesses, comme cela devrait être normal. Ses bras sur les accoudoirs la retenait de moins en moins, jusqu'à ce que tout son poids enfonce terriblement la bouteille en elle, m'offrant ainsi sa douleur la plus extrême, la plus intense, restant là, à me regarder, à se donner, pour mon seul plaisir, même si j'étais sure, à cet instant de son plaisir à elle.
    
    Le temps était suspendu. J'eus l'impression de ...
    ... rester là des heures, même si la scène ne du pas durer plus de 30 secondes, et personne ne me remarqua dans le couloir hébétée, et radieuse, hypnotisée par le spectacle. Sortant de ma torpeur, je lui intimais l'ordre de rester ainsi, malgré la terrible douleur qui devait se propager dans son ventre, jusqu'à ce que je repasse. Elle ne pourrait certainement pas travailler ainsi, aussi je ne la laissais que quelques minutes avant de repasser. Malheureusement une collègue de bureau était revenue, aussi je ne pu que lui faire un signe de se soulager. Un clignement d'yeux me remercia. J'aurais donné ma vie pour son regard à cet instant.
    
    Je me dépêchais de sortir avant la fermeture du Go Sport à côté de la tour. Le rayon équitation était petit, mais je trouvais là ce que je désirais. Perplexe devant le choix des cravaches j'avais un peu de mal à me décider et n'osais demander conseil. Vu la somme modique demandée, j'en pris 3 différentes, dont une badine plus longue, dont le bruit me plaisait bien. Je n'avais pas l'air fine dans le métro, mais en prenant un air dégagé personne ne me regarda vraiment. J'avais à nouveau fixé à Sophie rendez vous chez elle, c'était une vrai obsession pour moi, et j'avais envie d'essayer mes nouveaux achats. Lorsque j'avais vu ses fesses ce matin ainsi exposée, la vision de marques profondes, violacées, s'était imposée à moi. Et chemin faisant, je voyais bien son dos ou son très joli ventre plat marqué ainsi. Mais surtout ses fesses, si rondes, si ...