La vie de Sophie Ch 01
Datte: 27/07/2025,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... obligiez, et que je devais faire toutes ces choses qui m'obsèdent.
- Tu es une vraie salope quand même tu sais?
- Oui, c'est terrible. Je vous dégoûte?
- Je ne sais pas, on verra. Tu es toujours prête à faire ce que je te demande?
- Oh Oui Lydie, ce que vous voulez.
- Montre moi ta chambre, à 4 pattes, pas debout! »
Je la regardais onduler avec plaisir. Ce sentiment de pouvoir ne faisait que gonfler avec le temps. Je sentais à quel point la magnifique, inatteignable et supérieure Sophie avait abdiqué et se livrait tout à moi. La chambre était une vraie pouponnière avec des peluches partout. Un grand lit recouvert de couettes et d'édredon, le tout de couleur rose. L'impression était assez curieuse et ne collait pas avec l'image que j'avais de Sophie, ni même avec son salon d'ailleurs. L'éclairage de la chambre me permit de mieux voir Sophie qui marchait devant moi, et de découvrir le goulot d'une bouteille qui dépassait de son cul!
« Mais qu'est ce que tu as dans le cul? Depuis quand t'es tu remplie ainsi?
- Je pensais que cela vous ferait plaisir Lydie, c'est pour vous que je l'ai mis.
- Tu parles, tu l'as mis parce que tu adores cela et tu avais envie d'être remplie. Tu n'as pas compris je crois, tout ton corps, ton sexe, ton clitoris, ton cul, ta bouche, tes seins, tout est à moi. Je peux pouvoir en faire ce que je veux et je t'interdis d'en faire quoi que ce soit. C'est compris.
- Oui Lydie, pardonnez moi, je ne recommencerai plus.
- Ca ...
... on verra! En attendant pour te punir, tu garderas cette bouteille en toi jusqu'à demain soir! Tu viendras me montrer comme tu es bien remplie pendant la journée! »
Cette fois-ci Sophie eut du mal avec ma demande, mais me remercia malgré tout. J'imaginais comme cela allait être difficile pour elle, ne pouvant pas vraiment s'asseoir convenablement sinon au risque de s'empaler, l'idée m'amusait beaucoup. Mais 24h avec un tel objet en soit est un supplice dont je n'imaginais pas les douleurs causées. Ce n'est que bien plus tard qu'elle m'avoua avoir terriblement souffert, mais avoir tenu bon. Je ne mesurais ni la portée de mes demandes, ni son désir de s'abandonner à moi.
Je lui demandais de me dévêtir. J'étais proche de l'orgasme et il fallait que je me calme un peu. J'aimais voir ses gestes sensuels pour enlever mes baskets, sa retenue pour ma grande jupe. Elle hésita sur la culotte, aussi je la lui fis descendre avec les dents, c'était très drôle. Je n'avais pas mis de soutien-gorge, aussi le buste fut il rapide à dégager. Elle se tenait debout devant moi, la tête baissée, les bras croisés dans le dos, attendant mes désirs. Mon désir, c'était elle. Je n'avais plus peur d'être maladroite maintenant. Je lui pris doucement le visage entre mes mains, rapprochant ses lèvres des miennes. Notre baiser fut doux, tendre, long. Mes mains partaient à la découverte de son corps, de sa peau si soyeuse, de ses seins si fermes et si tendres, de son cou si fragile. Je n'osais encore ...