La vie de Sophie Ch 01
Datte: 27/07/2025,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... descendre plus bas.
Je m'allongeais sur le lit, je lui ordonnais de m'embrasser sur tout le corps, jusqu'à ce que je lui donne un autre ordre. Ce fut un moment délicieux, elle était très précautionneuse, tournant autour de mes seins et de mon sexe. Je me disais qu'il fallait que je m'occupe un peu de la broussaille de mon pubis, pour avoir un joli sexe comme le sien. Lui prenant fermement la nuque, je lui fis lécher, puis mordiller mes seins. J'obtenais les mêmes attouchements que mes plaisirs solitaires mais avec une autre personne, c'était divin de tout contrôler. Puis je lui fis me lécher, doucement, pour retenir mon plaisir. Son sexe vint au dessus de mon visage, je le voyais déformé par la bouteille de coca maintenant très enfoncée en elle, son clitoris minuscule, mais surtout je pouvais mesurer à quel point elle était excitée. Par pur sadisme, je décidais de la caresser mais en m'arrêtant en permanence au bord de l'orgasme, je ne voulais pas qu'elle prenne de plaisir ce soir là, elle n'était pas là pour cela.
La jouissance la plus forte que j'ai connue ce soir là, et la plus forte de ma courte vie, fut lorsque allongée sur elle, je me frottais le sexe sur son visage offert, la langue tirée. Je la barbouillais de mon excitation, je l'étouffais à moitié, et j'aimais la voir chercher son air, et ne rien faire pour se dégager. Je crois que j'aurais pu l'étouffer, elle n'aurait rien pu faire.
J'étais repue, elle fébrile d'avoir été ainsi excitée toute la soirée sans ...
... pouvoir se satisfaire. Je lui autoriserai demain de pouvoir se soulager dans les toilettes, un souvenir si récent et pourtant déjà si vieux, ma vie avait tant changé en quelques jours. Elle se reposait sur mon épaule, nos seins se touchaient. J'étais admirative des seins, pas même envieuse, ils étaient à moi et j'en ferais ce que je voudrais! Dans un souffle avant de m'endormir, je lui demandais si elle voulait être mon esclave. Son corps se raidit, elle chercha ses mots, commença par me dire qu'elle ne savait pas, puis que oui. Oui bien sur, elle voulait être mon esclave. Nous nous sommes endormies sans avoir l'idée l'une comme l'autre de ce que cela signifiait. Mais déjà j'avais décidé de la baptiser avec le nom de ma chienne quand j'étais petite, Cara.
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Du jour au lendemain, tant de folies devinrent possibles. Notre vie changea. Professionnelle avant tout, puisque c'était l'essentiel de notre activité, débutantes que nous étions et désireuses de progresser rapidement dans la hiérarchie. A la boîte nous paraissions les meilleures amies du monde, passant tout notre temps ensemble, nous aidant mutuellement. Mais dès le pas de la société franchit, les relations changeaient. Sans même y faire attention, Sophie me vouvoyait, et je la traitais comme mon esclave. Cette schizophrénie nous était naturelle. Elle pouvait me blaguer, me contrer ou discuter avec moi au travail, mais tout ceci était hors de question à la maison. Non seulement je ne l'aurais pas accepté, mais ...