Annie
Datte: 26/07/2025,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... Maintenant que vous savez, vous ne pouvez plus vous taire.
— C’est bien ça qui m’inquiète…
— Mais vous savez également que la parade existe, nous l’avons. Je peux vous faire préparer un contrat si vous le souhaitez, non pas que je veuille profiter de l’occasion pour placer mon produit, mais… Ce serait malgré tout plus que nécessaire.
— Je sais, j’y pense, mais comment présenter ça, et à qui ? Vous imaginez : « j’ai vu un mec qui rentrait dans le serveur comme il voulait et pouvait y faire tout ce qu’il voulait ». Quoi ? Où ? Qui ? Et tu as fait quoi ? Comment ça, tu ne l’as pas fait coffrer… ?
— Il faut rencontrer un responsable du service informatique et lui en parler sur le ton de la confidence : « j’ai vu un mec qui… Ça ne peut pas rester comme ça, on est en grand danger, il faut faire quelque chose ». Éventuellement, on pourrait vous faire une vidéo qui prouverait ce que vous avancez, sans voir les personnes bien sûr. Je vous invite à dîner ce soir ?
— Hou là non, hors de question. Corruption de fonctionnaire durant un contrôle, nous sommes bons tous les deux !
— Et quand le contrôle sera terminé ?
— Faut voir, à déjeuner serait peut-être plus raisonnable…
— Bon, alors, allez vite terminer et on en reparle…
Elle n’avait pas dit oui, mais elle n’avait pas dit non. La porte reste entrouverte, je suis bien décidé à y mettre le pied. Trois jours plus tard, le contrôle est terminé et elle m’annonce que je recevrai son rapport dans une quinzaine. Au revoir j’espère, ...
... bon débarras ont commenté les autres, il n’y a plus qu’à ranger des piles de dossiers. Moi aussi je devrais être soulagé, le plus dur est passé, je peux enfin penser à autre chose. Quatre mois, c’est long. En même temps, je ressens comme un vide. L’absence de son imposante silhouette dans les coursives, la disparition de ce bruit crispant du frottement de ses collants, si agaçant au début, mais à nul autre pareil, la fin de nos joutes parfois sévères, mais passionnantes comme une partie d’échecs… Sans aller jusqu’au manque, je dirais que ça ressemble à une rage de dents qui se termine brutalement : ça fait du bien, mais en même temps on a du mal à revenir à la normale parce qu’on s’y est habitué. Je tourne en rond, je vais user la moquette comme Donald dans les anciennes BD. Et puis tout a moins de goût, comme si on m’avait privé du sel et du poivre, au boulot comme à la maison. Pourtant mes deux délices d’orient font tout ce qu’elles peuvent pour me faire oublier cette déprime passagère.
— Cesse de te tracasser, mon chéri. Le contrôle est terminé maintenant et tu n’as rien à te reprocher…
— Je sais, mais tant que je n’ai pas le rapport… Et puis cet épisode avec Bill, je ne sais pas si j’ai bien fait. Ils seraient bien capables de poursuites ou du moins de gros ennuis…
J’ai bien tendu l’oreille lorsqu’elles portaient des collants et qu’elles croisaient ou décroisaient leurs cuisses, surtout Yüko, la plus charnue, mais rien à faire, je ne retrouvais pas ce crissement si ...