1. TT Com – Jours heureux


    Datte: 24/07/2025, Catégories: fh, hplusag, extracon, Collègues / Travail extraconj, dominatio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... croix, Béatrice soupire :
    
    — Pfff ! T’es vraiment un grand fauve !
    — Graouuu !
    — Ça, c’est plutôt du gros minet !
    
    Je la caresse, j’adore promener mes mains sur son corps tout doux. Confiante et heureuse, elle me sourit. Curieusement, elle pince parfois les lèvres, je me demande bien pourquoi. Je continue à la patiner amoureusement.
    
    Soudain, elle saute carrément du lit en gémissant :
    
    — Ah non, j’en peux plus !
    
    Elle se rue vers la petite salle de bain, et avant que je comprenne, elle est déjà assise sur les toilettes, en train de pousser un énorme soupir de soulagement, tandis qu’un bruit d’eau retentit.
    
    — Aaah, que c’est bon ! Ah la vache !
    
    Je m’approche, je suis étonné de l’expression de jouissance qui illumine son visage :
    
    — C’est dingue ! On dirait que tu es en plein orgasme !
    — C’est quand même pas la même chose, mais… on va dire que c’est proche…
    
    Le bruit d’eau ne faiblit pas.
    
    — Ce sont les chutes du Niagara ou quoi ?
    — Ben… j’avais besoin… et puis, qu’est-ce que tu fais là en train de me mater ? T’es franchement un gros cochon ! Allez ouste !
    — Je te rappelle que tu es dans ma salle de bain privative.
    — C’est pas une raison pour rester planté là comme un chou-fleur !
    
    Flegmatique, je réponds :
    
    — J’attends que tu aies fini pour t’essuyer.
    — Pour… pour m’essuyer !?
    — Oui, c’est bien ce que j’ai dit.
    — Mais !
    
    Je la gronde faussement :
    
    — On obéit à son seigneur et maître !
    — C’est la première fois que vous me sortez ça, cher ...
    ... Monsieur !
    — On obéit au moins à son patron bien-aimé. Allez, comme tu as fini, lève-toi !
    
    Elle obéit à mon injonction. M’accroupissant, je m’empare d’un morceau de papier rose, et avec application, j’essuie sa fente humide. C’est très excitant de faire ce genre de chose. Je constate du coin de l’œil qu’elle rosit légèrement, mais qu’elle apprécie.
    
    — Voilààà ! C’est tout clean !
    
    Puis je me penche pour embrasser l’orée de sa fente ainsi essuyée. Ne résistant pas, je glisse ma langue afin de venir taquiner un petit bouton que je sais très sensible. Plus haut, se laissant faire, Béatrice démarre au quart de tour, elle gémit doucement, elle commence à vibrer petit à petit, avant de plonger ses doigts dans mes cheveux.
    
    — Oooh… Hmmm… Petit cochon… Oooh…
    
    À peine une minute plus tard, elle jouit dans d’innombrables vibrations et petits cris, tandis que je lape sa suave cyprine que j’aime tant déguster.
    
    Ce vendredi de fin février, comme je sais que Béatrice n’a pas à rentrer chez elle, car son mari ne reviendra que demain, j’en profite pour attirer ma maîtresse dans mon bureau. Celle-ci se laisse faire sans problème, sachant fort bien qu’elle ne mettra sans doute pas un seul pied dans sa maison cette nuit.
    
    Après un gros bisou, je l’entraîne vers ma chambre cachée derrière ma petite salle de bain, puis je lui désigne le lit sur lequel attendent divers vêtements :
    
    — Enlève tout et habille-toi avec ce que je t’ai préparé.
    — Mais… il n’y a qu’un serre-taille et ...
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