1. TT Com – Jours heureux


    Datte: 24/07/2025, Catégories: fh, hplusag, extracon, Collègues / Travail extraconj, dominatio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... histoire, c’est le mari. Point barre.
    
    C’est ce que je me dis tandis que le premier jet de ma capitulation fuse dans la gorge de ma maîtresse. Je ferme les yeux, profitant de ce suave plaisir libérateur. Comme les autres fois, je resterai captif dans sa bouche jusqu’à ce que je sois entièrement vidé, asséché, une fois qu’elle aura tout bu.
    
    Recevoir une fellation, c’est très bon. Savoir que la femme avale, c’est encore meilleur. Ne me demandez pas pourquoi, mais c’est ce que je ressens…
    
    En ce début d’après-midi, je viens de convoquer Madame Balconi dans mon bureau. Une fois la porte refermée, fidèle à certaines de mes habitudes, j’entre tout de suite dans le vif du sujet :
    
    — Béatrice, je veux des réponses franches à mes questions…
    
    Surprise par mon entrée en matière, la jeune femme est assez perplexe :
    
    — Euh… nous sommes dans quel mode ? Patron-employée ou autre ?
    — Amant-maîtresse.
    
    Elle semble nettement soulagée :
    
    — D’accord, je t’écoute, Tanguy…
    
    Contournant le bureau pour venir devant Béatrice, je me lance :
    
    — Je me demandais si je ne te forçais pas trop la main, abusant de ma fonction de directeur.
    — Euh… tu… tu es dans ton rôle…
    — C’est-à-dire ?
    
    Elle marque une petite pause avant d’enchaîner :
    
    — Je ne déteste pas les… scénarios un peu… euh… hiérarchiques…
    — Genre Maître-esclave ?
    — Quand même pas juste que là ! Mais j’aime bien quand on me force la main… enfin… je te rassure, je suis consentante, même si parfois mes lèvres peuvent ...
    ... dire non.
    — J’ai appris à reconnaître tes différents « non »…
    
    Détendue, Béatrice se met à rire :
    
    — C’est pas toujours facile pour toi, n’est-ce pas ?
    — Disons que si un oui était un oui et qu’un non était un non, ça serait en effet nettement plus simple pour moi.
    — C’est ça qui te chagrinait, Tanguy ?
    — Un peu quand même…
    
    J’en profite pour m’asseoir sur le rebord de mon bureau. De son côté, Béatrice devient plus sérieuse :
    
    — Le jour où je ne voudrais vraiment pas, tu le comprendras tout de suite. Avec toi, j’ai l’embarras du choix : tu es mon directeur, tu es mon professeur, tu es mon amant directif, tu es mon amant attentif, et tu es même parfois mon petit garçon.
    — Moi, ton petit garçon !?
    
    Elle pointe le bout de son nez sous le mien :
    
    — Tu aimes que je te fasse parfois des gros câlins… n’est-ce pas ?
    — Hmm… oui, de temps à autre…
    — Et moi, j’aime bien t’en faire. Ah si seulement Bernard savait faire le dixième de ce que tu me fais ! Mais bon, entre un grand fauve comme toi et un simple gros matou comme lui qui ne songe qu’à roupiller au coin du feu, l’écart est trop grand !
    — Désolé pour toi…
    
    Elle lève fugacement les yeux vers le plafond :
    
    — Oh, t’inquiète ! Je t’ai dans ma vie, et finalement, quand on y réfléchit bien, je te vois beaucoup plus que mon mari, même quand on n’était pas amants, toi et moi…
    — À ce point ?
    — Avant ce que tu sais, on se croisait quand même plusieurs fois dans les couloirs, on discutait parfois, on se voyait en ...
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