1. TT Com – Jours heureux


    Datte: 24/07/2025, Catégories: fh, hplusag, extracon, Collègues / Travail extraconj, dominatio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... t’ai entendu causer au téléphone avec ta copine, ça m’a ouvert bien des portes, même si tu es néanmoins une femme mariée.
    — Oui, je sais, les femmes mariées peuvent apporter un gros lot de problèmes. Mais les célibataires aussi, surtout celles qui veulent se caser…
    — Je ne te le fais pas dire.
    
    On dirait que c’est elle qui mène la danse aujourd’hui.
    
    — Écoute, Tanguy : avant je fantasmais sur toi, tu le sais très bien, puisque Monsieur écoute aux portes. Maintenant, toi et moi, nous sommes passés à l’acte et… et c’est encore mieux que je ne l’aurais cru. Tu es un… comment dire… un gentil salopard… ! N’y vois rien de méchant. Certaines femmes ne détestent pas lesbad boys, mais de façon modérée. Finalement, je suis très contente que tu m’aies surprise ce soir-là, avant Noël. Oui, tu as été en quelque sorte mon cadeau de Noël un peu avant l’heure.
    — Le beurre et l’argent du beurre, si je comprends bien…
    
    À ces mots, elle se met à pouffer :
    
    — Et surtout la crème du crémier !
    — Rhoo, en voilà un langage, Madame Balconi.
    — Tu vois, ce genre de truc, je n’aurais jamais osé le dire face à un homme. Mais voilà, on dirait qu’avec toi, tout semble possible… sans toutefois brûler trop vite les étapes…
    — Hm-hm, j’avais compris…
    
    Elle me regarde intensément :
    
    — Parfois, je me dis que c’est toi qui aurais dû être mon mari, puis je me dis que non. Ce qui donne son sel à notre relation, c’est justement son côté caché qui nous oblige à être… euh… ardents…
    — Belle analyse, ...
    ... Madame Balconi…
    — Eh, je n’ai pas été recrutée dans cette boîte uniquement sur ma plastique… Bien que je ne sois pas untop model !
    — Tu es très mignonne, très sexy, très désirable…
    — Merci, merci… mais comme je suis ton genre de femme, tu n’es pas très pragmatique.
    — Je ne peux pas te donner tort.
    
    Elle attrape ma cravate :
    
    — Bon, je présume que tu es rassuré sur le fait que tu ne me forces pas.
    — Hmmm… tu pourrais me dire ça, parce que, justement, je te fais peur et que je te contrains psychologiquement…
    — Tu vas chercher loin… Mais je parie que tu ne crois pas une seule seconde à ce que tu racontes.
    — Pas trop en effet, mais je me couvre.
    
    Elle tire sur la cravate, m’obligeant à pencher la tête. Elle en profite pour capturer mes lèvres et m’expliquer à sa façon qu’elle fait aussi ce qu’elle veut de son côté. Son baiser est très sensuel et vorace. Nos mains caressent le corps de l’autre, charnellement, voluptueusement. Quand nos bouches se séparent, elle dit :
    
    — Et maintenant, allons dans ton baisodrome, et contrains-moi à te faire plein de cochonneries !
    
    Amusé, je proteste :
    
    — C’est moins amusant présenté de la sorte !
    
    Mais je l’entraîne aussitôt avec fébrilité à travers la petite salle de bain, bien décider à profiter éhontément de mon employée si docile.
    
    Quelques minutes plus tard, après lui avoir fait une belle démonstration du désir qui m’anime quand il s’agit de sa petite personne, complètement lessivée, allongée sur le lit défait, bras en ...
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