« Josy » : La petite salope au paradis. Épisode 13
Datte: 20/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... occasion, si je fus ravie de recevoir mes invités, ce ne fus pas le cas pour certains. En premier lieu, M. Jean, le brasseur qui avait profité de la foule et du manque de place pour se coller à moi et pour me triturer les fesses sans vergogne. Je n’avais pu esquisser son geste tellement nous étions serrés. Cela m’avait semblé durer une éternité : « Tu me le donneras ton cul. Je saurai être patient » M’avait-il dit à l’oreille sans que personne ne puisse entendre, ni intervenir. Il avait recommencé les mêmes gestes, peu avant de partir : « Bientôt je te baiserai comme une putain, je sais des choses. »
Pour ce grand jour de festivité, je n’avais pas voulu dire non, lorsque Gislaine me proposa d’inviter Marius. Il était évident que c’était cet homme qui m’avait mis le pied à l’étrier. Même s’il m’avait causé du tort, c’était grâce à cela que j’en étais arrivée là. Et je ne pouvais pas oublier que c’était encore cet homme qui me fit frissonner pour la première fois. Avec lui, j’avais découvert le plaisir du sexe, la découverte de l’orgasme, dans des baises courtes, torrides et sauvages.
Ça faisait à peine un an et demi que j’avais quitté le bistrot de la place, lorsqu’il m’avait sodomisé de force. Même si ce jour-là, je fus très en colère et étais partie vexée, je m’étais rendu compte par la suite, que j’avais très apprécié. C’était la raison pour laquelle, j’étais allée le revoir trois fois, lorsque mon moral était au plus bas. Dans ses bras, en me baisant comme une ...
... chienne, ce colosse parvenait à me faire prendre un orgasme terrible, en à peine dix minutes et me faire oublier mes tracas.
J’étais même retournée le rencontrer, il y a cinq mois avant de faire la pute. Ayant besoin d’argent pour acheter le routier, je lui avais proposé une association. Ne croyant pas à mon projet, il avait donc refusé, cependant je lui avais demandé de me prêter la somme qui me manquait. Là encore, malgré mon insistance et mes supplications, il m’envoya sur les roses : « T’as qu’à faire la pute. » M’avait-il dit. Comme un an auparavant, après une fellation d’usage, il me coucha sur le bureau, posa un billet de 50 frs, m’arracha ma petite culotte et me sodomisa brutalement. Je n’avais pas osé le lui dire, mais j’avais une nouvelle fois adoré ça.
Lorsque je le vis arrivé seul à l’inauguration, cela m’étonna, sa femme ne le quittait plus d’une semelle. Après un simple « Bonjour », je ne l’avais plus revu. Contrairement au pervers de grossiste, il avait attendu le milieu de l’après-midi, pendant que de nombreux convives dansaient sur la piste, pour venir me voir à l’intérieur du restaurant, où tout était plus calme : « Tu me fais visiter ? » Me demanda-t-il en m’empoignant par la taille pour me soulever et me faire la bise.
Côte à côte, tout en discutant, nous étions allés des deux salles aux cuisines, en passant par la réserve et le vestiaire. Je sentais dans ses propos une petite pointe d’amertume et quelques regrets, de ne pas avoir accepté ma ...