1. « Josy » : La petite salope au paradis. Épisode 13


    Datte: 20/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... distances avec moi, désirant passer le plus de temps possible en sa compagnie, il ne refusait jamais de me rencontrer. Nous étions allés à plusieurs reprises, en ville boire un verre, et passait régulièrement me rendre visite au restaurant dès que je l’appelais. C’était un ange, en l’espace d’un mois, nous étions devenus de véritables amis. C’était la première fois qu’un homme me résistait.
    
    Ce fut lui qui me trouva mon comptable, Michel était un ami à lui, un gars charmant de son âge. Jean-Lou m’avait même récupéré pour une bouchée de pain, par l’intermédiaire d’un autre copain forain, un parquet en chêne et une estrade, provenant d’un vieux bal monté. Désirant avoir affaire le moins possible avec M Jean le brasseur, Jean Lou s’était proposé de le faire. Il négocia avec lui, la fourniture des chaises et des tables de terrasse disposée autour du parquet d’une centaine de m2, servant de piste de danse à ma guinguette.
    
    Avec l’aide de Jean-Lou, de Gislaine et de son petit copain, nous avions installées le dernier samedi du mois de mai, toutes les guirlandes et banderoles afin de rendre ce lieu le plus champêtre et accueillant possible. Cet endroit ressemblant étrangement à un immense chapiteau de 600m2, était magnifique. « La Grange à Josy » pouvait recevoir jusqu’à 450 clients assis, tout était prêt pour l’inauguration prévue le week-end suivant. Ce soir-là, j’avais invité mes amis à manger, je sentais que Jean-Lou devenait de plus en plus proche avec moi, nous avions ...
    ... même danser le slow et le tango.
    
    Ce fut la raison pour laquelle, après la fermeture vers une heure du matin, je ne l’avais pas laissé repartir. J’avais trouvé un prétexte bidon en lui demandant : « J’aimerais ton avis sur mes comptes. » J’habitais depuis à l’étage, dans l’ancien appartement des propriétaires où j’avais refait une chambre et un bureau. J’étais très impatiente et à la fois troublée de me retrouver seule avec lui. Dès notre arrivés en haut de l’escalier, ne pouvant plus attendre, je le pris par le cou avant de l’embrasser passionnément.
    
    S’il m’avait rendu mon baiser, je l’avais trouvé réticent lorsque je l’avais attiré dans ma chambre. J’avais bien ressenti dans son entrejambe que je ne laissais pas indifférent, pourtant, Je sentais bien qu’il y avait quelque chose qui clochait : « Qu’est-ce qui ne va pas Jean-Lou, je ne te plais pas ? » Il ne répondit pas mais m’avait repris dans ses bras et après avoir répondu favorablement, une nouvelle fois à mon baiser, il me dit à l’oreille : « Si beaucoup ! Même plus que tu peux t’imaginer mais je ne suis pas l’homme qu’il te faut. »— Qu’est-ce que tu racontes là ! Viens ! Déshabille-toi et allons-nous coucher, il se fait tard.
    
    Je ne désirais pas lui montrer mon côté petite cochonne, ce fut lui qui me demanda une fellation où j’avais très apprécié son érection. Puis après m’avoir fait jouir plusieurs fois avec ses doigts et en me baisant, il me proposa de me sodomiser, me disant qu’il adorait mon petit cul. Le ...
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