1. « Josy » : La petite salope au paradis. Épisode 13


    Datte: 20/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    Je n’avais donc pas eu recours à ma bouche pour satisfaire ce pervers de brasseur, les travaux d’aménagement purent commencer rapidement. Là encore, le peintre était lui aussi une relation du « Plazza. » Cependant, si j’avais cédé aux caprices du banquier pour parvenir à mes fins, en le suçant deux jours de suite. Cet artisan décorateur n’avait fait aucune pression sur moi. C’est vrai que j’étais prête à tout pour la réussite de mon projet, je ne m’étais donc pas arrêtée là.
    
    Ce jeudi, après ma proposition indécente faite au jeune charpentier, comme il me plaisait, je n’avais pas hésité à lui offrir mes lèvres. Malgré qu’il soit pressé et allait probablement être en retard, il ne put m’empêcher de poursuivre ce que j’avais commencé, c’est-à-dire, baisser son pantalon. Il n’était pas monté comme mon pianiste noir, découvert dans la boite de jazz à Paris, cependant sa queue de taille moyenne était belle et bien raide, une vraie trique dure comme du bois.
    
    Je m’étais tellement appliquée, autant avec ma langue qu’avec mes lèvres, dans cette fellation hors du commun, qu’il ne lui avait pas fallu très longtemps pour m’expédier toute sa semence au fond de ma gorge, pour son plus grand plaisir et le mien par la même occasion. Ayant très apprécié mes qualités de petite salope, il voulait me connaitre un peu mieux maintenant. Ce n’était plus le samedi, qu’il désirait me revoir : « Que fais-tu ce soir, tu es libre ? » Je ne me sentais pas capable de refuser une telle proposition, ce ...
    ... bel athlète me plaisait vraiment :— Ok ! Viens vers 19 heures « au Paradis ».
    
    Avec Armand, marié avec deux enfants dont un en bas âge, je ressentais une réelle attirance. Ce fut comme cela que notre liaison débuta. Après l’avoir quitté, j’étais restée toute l’après-midi avec les peintres et le frigoriste en attendant avec impatience la venue de mon futur amant. Ce fut sur une table de brasserie pliante qu’il m’avait fait jouir avec sa langue et ses doigts. Après m’avoir apporté du plaisir, désirant revivre ce merveilleux moment, il m’invita à lui rendre la pareille dans une divine fellation.
    
    Allongée le dos sur la table, ma tête en dehors tombant en arrière, je l’invitai à prendre ma bouche. Il m’enfonça sa queue entre les lèvres et se mis à me la baiser ainsi. Le sexe de mon amant venait cogner régulièrement au fond de ma gorge. Cette situation me rendait folle d'excitation, d'autant que les doigts du charpentier taquinaient sans relâche mon clitoris en même temps. Tellement excité, Armand n’en pouvant plus, était repassé devant moi pour me prendre la chatte à grands coups de rein et se vida en moi.
    
    Pendant toute la durée des travaux de couverture, Armand venait me prendre tous les soirs avant de rentrer chez lui. Il semblait ne plus pouvoir se passer de mes trois orifices. Je ne savais pas comment, après ces baises ardentes, il pouvait encore satisfaire son épouse tellement il se donnait à fond dans tout ce qu’il entreprenait. Même moi, pourtant accroc au sexe, il ...
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