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Fat ale femme
Datte: 31/07/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... paraît-il dangling. Une femme est quasi assurée de me subjuguer par ce dernier atout de l'arsenal de séduction. Il n'en fallait pas tant pour que je craque et que me fut administré le coup mortel et fatal. Ainsi la garce commença ce ballet. Je vis émerger un pied mignon et non moins puissamment sexuel hors de son escarpin. Il n'était destiné qu'à moi. J'en fus peut-être le seul être hypnotisé. A mon tour avais-je du mal à soutenir am conversation. Le vieux ayant repris ses esprits semblait moins sensible que moi au charme de ce pied si lancinant. Un instant l’escarpin chut dans l'herbe. Je fis effort de ne pas me précipiter pour le ramasser et le remettre au pied de sa propriétaire. J'eus temps de me représenter que seul le prince charmant était habilité à cette tâche : « rechausser la jolie et pauvre Cendrillon. Je n'en étais pas moins agacé que cette chausse fut laissée là jonchée dans l'herbe. La garce manifestement ne voulant couvrir son pied impunément offert. Elle tirait sur sa cigarette. Son regard me fixait sans détour. J'en décelais le sens. En mots cela pouvait se traduire par : « Chiche idiot. Ramasse ma pompe. Viens m'en chausser ! » En lâche je ne sus, je ne pus relever ce défi. Je demeurais confit en ma sotte conversation. Le pauvre escarpin abandonné de tous gisait dans l'herbe, cadavre misérable. Je maugréais entre mes dents que je devais donner une leçon à cette garce. Revenant sur mes dispositions précédentes, je décrétais qu'il fallait que je ...
... l’att****. Que je la saute. Je ne me défilerais pas. Voulant rompre le charme, je me traînais une dernière fois au buffet. J'en revins peu après. Mon vieux avait disparu. Seul elle demeurait sur la chaise. Elle avait remis son escarpin au pied et rangé ce diable de téléphone. Elle m'adressa la parole sur un ton qui ne tolérait pas l'objection. En gros, elle savait de son mari que je rentrais demain sur Paris. Que mon hôtel divine surprise était proche du leur. Bref elle était fatiguée et son mari répugnait à rentrer dès maintenant. Elle me témoignât que le même mari serait flatté que je la raccompagnasse à leur hôtel. Je ne fus pas dupe du mensonge. Cependant qu'y pouvais-je objecter ? J'acceptais. Elle refusa que j’allasse saluer son mari. Elle proclama qu’elle était pressée. Que cette engeance ici la saoulait. Ne voulant augmenter son exaspération qui montait, je pressais le pas rentrant la tête dans mes épaules. Je devinais qu'on nous observait. Il était indubitable que j’emmenais une salope dans un lieu où je pourrais la sauter. J'étais moyennement glorieux. Peu fier que cet exploit ne put m'être porté à crédit. La garce ayant pris seule l’initiative et précédant mes désirs. Au bout d'un kilomètre elle demanda de m'arrêter sur le bas-côté . Nos lèvres se collèrent. Nos langues se mêlèrent luttant. Je n'avais pas soupçonné en elle une telle lubricité. Elle se ruait sur moi. Je pensais avec dépit que n'importe qui eût fait l'affaire. Qu'elle n'eût pas dédaigné peut-être ...