1. Fat ale femme


    Datte: 31/07/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    Je me souviens de ce soir d’été. La saison tirait à sa fin. Chacun envisageait dans son coin la rentrée. Chacun morose évaluait qu'il n’avait tiré tout le parti de ses jours de congé. Ces jours filaient et emmenaient notre vie vers son terme inéluctable. Nous n'avions pas d'excuse pour être malheureux. Moi-même rongeais-je mon frein ce soir-là. J'étais depuis un an célibataire et ce délai déjà me pesait. Les copains pour la plupart mariés m'enviaient pourtant. Il ne pouvait croire que je dédaignas toutes ces femmes draguées et ramenées chaque soir dans mon lit.
    
    En cette côte d'azur, la pêche avait été aisée. Cela avait été simple et déprimant. Don Juan y aurait perdu son latin. J'avais l'impression vague qu'elles se jetaient toutes à ma tête. Tout benêt autour de moi y aurait réussi de même. Une des garces m'avouant qu'elle escomptait bien durant une semaine se taper au moi un mâle par jour. Elle assumait sans vergogne ce qu'elle baptisait son appétit sexuel. Elle excluait d'emblée le timide et l'intello. Tous ces gens empêchés qui vous renvoient à votre mal d'être. Elle allait donc vers les sommaires. Ceux qui ont une bite à la place du cerveau.
    
    Il n'est pas sure que dans ma démarche je fus plus raffiné. Il y avait dans cette période quelque chose de grotesque et de funeste. L'urgence nous faisant accepter n'importe quoi. J'eus plus d'une fois une de ces créatures prises de boisson que je détournais dans façon dans mon lit et qu'au matin je découvrais du coup bien ...
    ... dégrisée, le regard triste comme frappé de stupeur. Pris de gêne, je m'en excusais. La créature souvent refusait que je la raccompagnas, préférant un taxi. Ce jeu de rôle minable me confortait à changer de vie. Je voulais échapper à ce branle du Diable.
    
    J'en étais à ces profondes réflexions lorsque je suivis jusqu'ici une idiote attrapée dans un bar et qui connaissait le maître de cette maison, grande propriété jouxtant la mer dont on entendait dans le noir la triste rumeur. L'idiote avait tôt disparu au bras d'un type aussi peu ragoûtant que moi. Je n'excluais pas qu'il pourrait la sauter quelque part. Il m'en avait en sorte délivré. Je lui en su gré. Il y avait ce soir-là des femmes remarquables de beauté. Plus en forme et motivé j'eus pu faire mes courses mais le ressort décidément était cassé. Je regardais ma montre n'osant m'enfuir si tôt.
    
    Je ne sais pourquoi le maître de maison me prit en sympathie venant discourir un temps. Nous parlâmes théâtre et opéra. Il était désolé que je dus retourner dès le lendemain sur Paris car il m'aurait volontiers dégoté une place de concert. Il m'enjoignit de revenir le voir l'année suivante.
    
    Il m'amena à un groupe dont je sus qu'il prisait l'amitié. Il croyait devoir m'honorer. Il y avait là trois couples. Mon attention se porta finalement à une jeune femme brune qui manifestement s’embêtait. Presqu'autant que moi dirais-je. Elle ne daigna pourtant pas me regarder ni me répondre.
    
    En fait elle était tout autant occupé à regarder ...
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