1. Fat ale femme


    Datte: 31/07/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... l’écran d'un téléphone y tapant des SMS que je concevais stupides et ineptes. Il m’effleurât qu’elle devait échanger avec un amant au su de tous dont son mari qui flegmatiquement souriait sirotant à côté d'elle. N'était-ce pas là une vignette éternelle du charme discret de la bourgeoisie ? On eût dit une séance d'un film d'Antonionni.
    
    Rassurez-vous je n'avais pas le charme de Marcello. Jeanne Moreau ou Monica Vitti semblant n'être pas de la partie. La brune jolie ne m'en intriguait pas moins devenant comme un point fixe.
    
    Peut-être devais-je parler plus de charme que de beauté à son endroit. Je vis en un instant qu'elle était l'archétype des ces femmes fatales pour qui on se damne. Je reconnus assez vite cette douleur au fond du cœur. Cette souffrance qu'on assimile bêtement à l'amour. Je savais d'instinct qu'il fallait fuir ce genre d'a****l. Son mari était à ses côtés comme un nigaud banal parfaitement immunisé de la dangerosité de sa femme. Celle-ci pouvait impunément se déployer et faire souffrir autour. Je n'ai jamais su si le propriétaire avait fait exprès de m’emmener dans de tels parages.
    
    Finalement je renonçais à partir tôt. Nous en étions somme tout aux approches de minuit. Là aussi le mari me prit en sympathie. Sans doute ce cocu percevait-il que je pouvais être candidat à sa femme. Il me présentât si ostensiblement qu'elle dut tourner la tête vers moi et me traverser d'un regard bleu acier. Une lame ne m'eût pas fait plus mal ou plutôt je savais que j'y ...
    ... laisserais le sang et les viscères. Elle m'adressa un sourire comme si nous étions complices de toujours. Je fus comme répertorié, étiqueté. J'étais une victime, un damné, un ignoble gogo. J'y perçus son mépris.
    
    Piqué au vif, je ne pouvais décemment abandonner le champ de bataille. Effronté je fis en sorte de camper ma chaise face à elle ce dont me félicita le mari qui goguenard et regardant sa femme me dit : « Tâchez de la distraire un peu du téléphone. Elle me désespère avec çà. » Je m'empressais de corriger. « Madame n'en faites rien. Je sacrifie aussi au même vice. » J'eus droit à un sourire. D'une certaine façon elle agréait que je lui fus ici comme un chaperon ou un digne sigisbée. Elle me marqua assez qu'elle me trouvait parfaitement inoffensif. Elle était occupée de son amant.
    
    Heureusement un vieux con à ma gauche me prit d'amitié et développa avec moi les perspectives de la carrière d'un ténor prometteur. Cette conversation venait tout à propos. Ainsi avais-je tout loisir d'examiner en toute impunité ma cruelle. Elle dut percevoir vite mon intérêt et mon jeu singulier. Cela dut l'amuser. Sûrement put-elle écrire dans un SMS à son amant : « Un type graveleux en face de moi n'arrête pas de me reluquer. » Elle escomptait du coup agacer et rendre jaloux cet amant. Elle crut devoir pour cela joindre les actes à la parole. Elle commença de m'allumer.
    
    Il faut préciser un point trivial et vital. La miss arborait ce soir-là une jupe de cuir courte et surtout des bas ce ...
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