1. Recruter Une Secrétaire Ch. 01-02


    Datte: 18/07/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... ses fesses, admirables globes bien formés, quoique assez molles et déjà quelques ombres annonçant la cellulite inéluctable chez toutes les femmes. Son cul était très clair. Il n'avait pas de connaissances universelles, mais il lui semblait bien qu'elle n'avait jamais été prise par là. A sa façon d'être serré sans doute. Il avait appris qu'une seule sodomie suffisait à endommager irrémédiablement un sphincter, et celui-ci avait l'air en très bon état. Elle avait un muscle anal qui semblait très puissant à ce qu'il en voyait. C'était très bon signe, cela signifiait qu'elle pourrait sans doute être défoncée par des objets aux dimensions qui la feraient s'évanouir de frayeur. Avait il le droit de s'immiscer par là?
    
    Il posa tendrement sa langue sur le cul ainsi offert, sans que Marguerite ne dise rien, ni même ne bouge. Il sentit l'anus se détendre tandis qu'il la léchait doucement, puis palpiter au même rythme que ses coups de langue. La voie était ouverte. Il prit de la crème pour ne pas la blesser, enduisit largement son index qu'il fit pénétrer doucement dans la cavité inexplorée. Instinctivement elle se referma sur le doigt, mais lâcha la prise dès qu'il lui demanda de se détendre. Il savait que la sensation d'un doigt pouvait être fort désagréable, rappelant trop la défécation, tandis que l'intromission d'un plus gros objet, rendait la sodomie très différente. Il ne s'attarda pas avec son doigt, et vint positionner son sexe qui était tendu de désir au creux de ses ...
    ... reins.
    
    Il sentit sa respiration se bloquer, elle avait peur. Mais maintenant il avait trop envie. Il prit soin d'être bien en face de l'anus, et posa simplement son gland contre ce dernier. Plutôt que de pousser au risque de lui faire mal, il ouvrit l'anus en tirant alternativement sur la face intérieure de chacune des fesses, créant une tension le forçant à se dilater. En quelques instants la tête de son sexe l'avait pénétrée, le plus dur était fait. Elle haletait, mais n'avait pas poussé le moindre gémissement. Il compta mentalement deux minutes, le temps que son corps s'habitue, avant de s'enfoncer plus profondément en elle, et faire céder, les uns après les autres, les anneaux de son sphincter. Il faisait des mouvements d'aller et retour, doux mais chaque fois plus pénétrants. Marguerite devait avoir le sentiment d'être à chaque fois transpercée, elle expulsait l'air de ses poumons à chaque nouvelle avancée. Il prit une nouvelle pause, et ne fut qu'à moitié surpris de voir Marguerite bouger ses fesses et partir à la conquête de son sexe pour l'enfoncer plus encore, jusqu'à ce qu'elle sente qu'il était complètement enfoncé. Elle fit alors des mouvements brutaux, cherchant à se défoncer sur cette queue qui la brûlait, elle qui n'avait jamais connu cette pénétration.
    
    Philippe l'observait, un grand sourire au visage. Ce comportement était typique des femmes masochistes, désireuses de vivre au plus vite la souffrance promise, sans attendre et sans espérer pouvoir y échapper. Et ...