1. Recruter Une Secrétaire Ch. 01-02


    Datte: 18/07/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... tête, détachant ses lèvres des siennes pour soupirer :
    
    « S'il vous plaît, s'il vous plaît. Il avait presque du mal à l'entendre parler. Il s'approcha plus près de sa bouche.
    
    -S'il vous plaît, prenez moi. S'il vous plaît. Possédez moi, utilisez moi, dressez moi. S'il vous plaît. Vous voulez bien? »
    
    Bien sur qu'il voulait bien. Elle avait frappé à la bonne porte ce soir. Il allait s'occuper d'elle.
    
    *****
    
    Il lui fit l'amour pendant plusieurs heures, ne se lassant pas de ce corps qui loin d'être passif, vibrait dès qu'il la touchait. C'était une bombe entre ses doigts, totalement docile et disponible, murmurant des mots qu'il ne parvenait pas toujours à comprendre, mais qui signifiaient qu'elle était bien.
    
    Même après 3 heures d'avoir touché et dévoré son corps, il se sentait loin de l'avoir remplie autant que son désir l'espérait. Il regardait son corps nu, couvert d'une fine pellicule de sueur dans laquelle les flammes des bougies se reflétaient. Il n'en finissait pas de bander pour elle, il avait envie d'exercer sa violence, la fouetter, la contraindre, l'entendre hurler, mais n'osait pas, ne sachant rien de ses attentes, et de ses goûts, sinon ce qu'il avait pu déjà entrevoir. Il avait quand même envie d'en savoir un peu plus.
    
    Sans un mot, discrètement, il sortit une longue corde de coton blanc, et lui attacha les poignets l'un à l'autre puis les tira vers la tête de lit pour les y fixer solidement. Elle ne dit rien, sa respiration devint simplement un peu ...
    ... plus rapide. Il guettait un signe pour savoir s'il allait trop loin, mais elle était simplement en attente. Il la fit pivoter pour qu'elle s'allonge sur le ventre, écartant ses jambes, et les attachant de part et d'autres du lit. Elle était maintenant offerte et totalement à sa disposition. Ses fesses rebondies étaient encore plus cambrées, comme si elle cherchait à se rendre plus provocante pour le forcer à la prendre encore et encore.
    
    La touchant du revers de la main, il la sentit à fleur de peau. Approchant une bougie qu'il posa entre ses deux jambes écartelées, il prit le temps de la regarder, au plus profond de son intimité. Son sexe était légèrement béant, couvert d'un voile blanc de son excitation à elle que rien ne semblait pouvoir tarir. Ses petites lèvres étaient quasiment inexistantes, très foncées, repliées. Il avait pu longuement sentir son clitoris, de toute sa longueur, mais sans avoir pu la faire jouir malgré ses caresses savantes. Cela le frustrait, car donner du plaisir, être le grand maître des orgasmes de ses femmes soumises, était pour lui comme une assurance, celle qu'elles avaient effectivement besoin de lui. Mais Marguerite n'avait pas eu d'orgasme, ni par ses caresses, ni au cours des coïts répétés et variés. Elle avait eu beaucoup de plaisir, il en était sur, mais ce n'était pas suffisant. Un signe de plus, peut être, qu'elle était plus qu'une femme douce et docile. Cela avait été systématiquement le cas dans le passé.
    
    Il remonta les yeux vers ...
«12...91011...»