1. L'Oscar du nez


    Datte: 15/07/2025, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail profélève, grossexe, hotel, caférestau, odeurs, Oral fsodo, conte, Humour contes, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... différent.
    
    — Je vous fais toujours aussi peur ? demanda-t-elle, le sourire en coin.
    — Euh non, pas du tout, au contraire.
    — Vous m’en voyez ravie. Vous savez, je vous ai beaucoup regretté.
    — Il ne tenait qu’à vous.
    — Certes mais vous ne m’avez pas aidée.
    — Que voulez-vous dire ?
    — Ne faites pas l’idiot. J’avais envie de coucher avec vous et vous m’avez négligée. La pire insulte pour une femme.
    — Vous oubliez que nos rapports hiérarchiques incitaient à une certaine prudence.
    — Et maintenant ?
    — C’est différent.
    
    Une puissante odeur saisissait les narines d’Oscar, venant de dessous la table du bar. Cette fois, il glissa la main sur le genou de Nadine et remonta lentement le long d’une cuisse fuselée. Un mince sourire éclaira le visage de la quinquagénaire et ses cuisses s’ouvrirent légèrement. Il atteignit le slip et le sourire se mua en rictus. Il pressa, sentit poindre de l’humidité sous son doigt, et Nadine se mordit la lèvre inférieure. Puis elle lâcha :
    
    — J’ai envie. On va chez moi. Tout de suite.
    
    Elle se leva, baissa sa robe, paya les consommations et Oscar suivit sa croupe louvoyante de femme en attente de pénis jusqu’à sa voiture. À l’intérieur, ils s’embrassèrent fougueusement en se tâtant mutuellement les parties intimes. Lorsqu’ils arrivèrent à l’appartement de l’ex-patronne, ils étaient l’un et l’autre, chauds bouillants.
    
    *******
    
    Tellement qu’ils titubèrent enlacés jusqu’à la chambre, semant leurs vêtements au passage. Oscar découvrit ...
    ... le corps nu de son ancienne patronne avec encore les marques d’un bikini de l’été précédent. Corps pulpeux sans excès, frémissant de désir, qu’il se préparait à pénétrer quand elle lui dit :
    
    — Retiens-toi, j’aime quand ça dure et que c’est dur. Baise-moi comme tu baises les autres femmes.
    
    Dès qu’il se fut enfoncé d’une manière très classique, elle l’entoura de ses longues jambes et une cavalcade effrénée commença. Il n’aurait jamais cru que cette beauté froide à la Hitchcock puisse dissimuler un tel appétit sexuel. Volcanique et insatiable, dégageant dans l’amour une puissante odeur de sexe en fusion, elle ne cessait de l’implorer de continuer à la pilonner en bafouillant des mots crus, en lui parlant de sa bite, en bavant dans le traversin pendant qu’il la sodomisait (à sa demande), tant et si bien qu’il finit par lui demander depuis combien de temps elle n’avait pas fait l’amour.
    
    — Comme ça, il y a très longtemps, éluda-t-elle, avant de le reprendre en bouche entre deux pénétrations.
    
    Bref, il la régalait, mais il se régalait aussi. Leurs ébats furent interrompus par la sonnerie de son portable, qui rappela à Nadine qu’elle était aussi patronne. Il s’amusa à la voir répondre nue et plongea le nez dans son odorante humidité pendant qu’elle parlait à son interlocuteur pour raison professionnelle. Elle crispa son autre main sur sa nuque pendant qu’il la léchait, laissa échapper un petit gémissement qui alerta à l’autre bout du fil, elle fut contrainte à un pieux ...
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