L'Oscar du nez
Datte: 15/07/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
profélève,
grossexe,
hotel,
caférestau,
odeurs,
Oral
fsodo,
conte,
Humour
contes,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... lanceuse de marteau, une épicière bio larguée par son conjoint, une ancienne prof rencontrée dans la rue plus l’ordinaire, quelques étudiantes délurées et enfin,last but not least, une amie de sa mère, à la chevelure auburn et la peau laiteuse, qui avait toujours stimulé sa masturbation d’adolescent, dont il découvrit le tempérament de feu mais qui lui fit jurer de n’en rien dire à sa maman.
Ces conquêtes multiples et variées lui valurent évidemment la réputation deserial baiseur et l’admiration de ses copains mâles, qui se demandaient comment il faisait pour « tomber » avec autant de succès et de répétition. Il se garda évidemment d’expliquer que tout était dû à son nez et aux effluves émanant de « femmes qui baisent », ou qui ont envie de baiser. Secret professionnel…
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Une évolution majeure se produisit lorsqu’il entra dans une entreprise pour un stage d’été. L’élément féminin y étant assez important, notamment dans les bureaux, il ne tarda pas à renifler quelques sujets intéressants. Il jeta son dévolu sur une quinquagénaire prénommée Agnès dont il avait appris la séparation récente d’avec son conjoint et qui dégageait à leurs rencontres un fumet puissant de femelle en attente de pénis, en l’occurrence le sien. La dame lui mettait ses plantureux nichons sous le nez et cambrait sa croupe généreuse en le précédant le long des couloirs. C’était presque trop facile, il aurait pu se passer des informations de son pif mais le besoin d’un corps à corps l’emporta ...
... sans difficulté, d’autant qu’il était partagé. La dame ne fit aucune manière lorsqu’il lui proposa franco une bonne partie de baise dans un Formule 1. Elle dit préférer quelque chose de plus naturel et c’est ainsi qu’il la prit dans une forêt de pins où elle put s’extasier bruyamment sans crainte d’ameuter le voisinage. Sa réputation était faite dans l’entreprise, car Agnès était bavarde : il était un coup en or.
Dès lors, il accumula les conquêtes éphémères, la plupart mariées mais désireuses d’une petite échappée avec une bonne bite bien raide. Peu regardant sur le physique de ces dames, il les récompensait sans distinction d’âge ou d’esthétique et fut remercié en retour par quelques surprenantes révélations de plumard.
Ces relations extraprofessionnelles finirent par arriver aux oreilles de la patronne, une quinquagénaire à l’allure de Meryl Streep, d’abord assez froid. Elle le convoqua pour lui faire la leçon, sur le thème : pas d’histoires de fesses chez moi susceptibles d’entraîner des troubles conjugaux. Son stage menaçant de tourner court, il calma ses ardeurs jusqu’au jour où, présent dans une réunion avec sa responsable et sa patronne, il perçut nettement chez celle-ci une odeur facilement identifiable. Elle prenait même une certaine intensité lorsqu’elle l’interrogeait directement, les yeux dans les yeux. Le doute ne fut plus permis lorsqu’après la réunion, elle le convoqua dans son bureau pour une discussion portant sur l’organisation de ses services, jugeant ...