L'Oscar du nez
Datte: 15/07/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
profélève,
grossexe,
hotel,
caférestau,
odeurs,
Oral
fsodo,
conte,
Humour
contes,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
Très vite, Oscar s’aperçut qu’il avait un nez. Pas un nez de parfumeur ni d’œnologue. Non, un nez à femmes. Au début, il n’identifia pas vraiment cette odeur particulière, qui ne fonctionnait pas pour tous les membres de la gent féminine. Juste certaines, quel que soit leur âge ou leur situation professionnelle. Cette fragrance concernait aussi bien l’étudiante que la matrone, la postière sur son vélo jaune ou la prof de lycée, sa propre sœur ou sa propre mère suivant les circonstances de la vie. C’est quand il connut ses premières expériences sexuelles avec une copine de son âge, et plus particulièrement quand celle-ci lui réclama un cunni, qu’il comprit : cette odeur, c’était celui d’un sexe féminin en demande de sexe masculin.
Ce fut pour Oscar une révélation lourde de sens. Il pouvait deviner, rien qu’en croisant leur chemin, une femme ayant envie de baiser. Il le comprit définitivement lorsqu’un jour d’examen surveillé par une plantureuse quadragénaire, celle-ci, les yeux dans le vague, produisit un parfum puissant qui atteignit les narines d’Oscar en pleine cogitation. C’était comme s’il avait pu lire dans les pensées de l’examinatrice. À l’issue de cet examen, il décida de l’attendre et de la suivre. C’était une brune trapue à gros seins et au visage lunaire, qu’il savait enseigner les mathématiques. Elle prit place dans un restaurant rapide et il l’imita à une table juste à côté d’elle. Elle le reconnut, une conversation s’engagea, prit place en face d’elle et lui ...
... tint un discours de drague assez sommaire au point qu’elle dut exciper de son statut de femme mariée. Mais sûr de son atout de gars de vingt ans au physique non dénué de charme, et surtout édifié par une odeur de plus en plus envahissante à ses narines de la dame qui lui faisait face, il poussa son avantage en rencontrant de moins en moins de résistance, et pour cause. Lorsqu’il glissa sa main sous la table à la rencontre de la cuisse dodue de la prof, non seulement il ne fut pas repoussé mais un léger écartement se produisit, confirmé par une bouche humide émettant une protestation de pure forme. Toujours sûr de son fait, Oscar proposa à la dame, qui s’était fait appeler Claudine, de rejoindre un hôtel voisin. C’était le moment décisif. L’odeur allait-elle disparaître comme elle était venue ? Bien au contraire, elle augmenta. Claudine se laissa entraîner sans résistance vers l’hôtel, ondulant de la croupe, seins hauts.
Dans la chambre, elle se rua sur la braguette d’Oscar et poussa une exclamation lorsqu’elle libéra son pénis. Si la nature avait doté le jeune homme d’un nez, elle avait en quelque sorte établi une continuité avec son organe mâle, véritable bâton de berger. Oscar avait pris le temps de s’arrêter à un distributeur de préservatif en cours de route et il laissa à la dame le plaisir de le couvrir après qu’elle l’eut abondamment sucé d’une bouche vorace. Avant de la pénétrer, il lui offrit un cunni qui lui permit de se repaître de son odeur sui generis, le nez ...