L'Oscar du nez
Datte: 15/07/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
profélève,
grossexe,
hotel,
caférestau,
odeurs,
Oral
fsodo,
conte,
Humour
contes,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... dans sa broussaille de brune. Tandis qu’elle se tordait sous sa langue, il la doigtait en même temps, découvrant un vagin large et poisseux. Elle accueillit sa bite comme une délivrance et un accouplement tumultueux et bavard emplit la chambre d’hôtel. Claudine était dans une telle demande de sexe qu’il la fit jouir plusieurs fois, lui offrant diverses positions grâce à une endurance qui l’enthousiasma. Elle ne fit aucune difficulté pour être sodomisée malgré le volume du pénis du baiseur, l’essentiel pour elle étant qu’il continue de la servir. C’est seulement quand son corps replet se couvrit de sueur et commença à manifester un peu d’inertie qu’il lui asséna une série de coups de boutoir, les yeux dans les yeux, prémices à son éjaculation qu’elle accompagna en lui talonnant les reins et en se mettant en arc de cercle. Il resta fiché en elle quelques minutes, le temps qu’elle reprenne ses esprits. Ils devisèrent ensuite sur le lit.
— C’est la première fois que je trompe mon mari, lui avoua-t-elle.
— Et alors ? Tu regrettes ?
— Tu m’as fait grimper aux rideaux. J’avais vraiment envie de faire l’amour. Comment tu as deviné ?
— Je l’ai vu dans tes yeux pendant l’examen.
Claudine marqua son étonnement et une certaine inquiétude :
— Cela se voyait tant que ça ?
Oscar répondit par l’affirmative, mais compléta en lui disant qu’elle était très désirable et qu’il avait vraiment envie de faire l’amour avec elle. Ce qui la rassura.
Ils se séparèrent en se ...
... promettant de se revoir. Mais l’un et l’autre savaient que selon toute probabilité, cette aventure serait sans lendemain.
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Commença alors pour Oscar une période particulièrement faste sur le plan sexuel. Non seulement sa jeunesse et son physique le rendaient attrayant à la gent féminine, mais il bénéficiait en outre d’une information de première main grâce à son nez, lui évitant dans la majorité des cas d’humiliants « râteaux ». C’est ainsi qu’il ne rencontra aucune difficulté à baiser neuf femmes sur dix dans son collimateur, la dixième étant en général dans sa « période » ou susceptible d’être satisfaite par son conjoint. Bien entendu, quand il avait le choix, il préférait la plus jeune et la plus jolie mais c’est toujours son nez qui avait le dernier mot. Une fragrance éloquente était dans un esprit générateur de plaisir parce que révélatrice d’un appétit et d’une adhésion. Il ne fut jamais déçu. Contrairement à Jean-Baptiste Grenouille, le héros de Patrick Suskind dans un roman célèbre, il ne profitait pas de son don en prédateur, mais en bienfaiteur.
Il régala de sa queue une policière municipale qui venait de lui mettre un PV pour avoir grillé un stop en vélo, la directrice de l’agence immobilière qui lui avait accordé une location, une voisine quinquagénaire prénommée Corinne dont le physique lui rappela une actrice de série américaine, sa libraire de proximité qui lui avait vendu avec enthousiasme les onze mille verges d’Apollinaire, une factrice au corps de ...