La vie d'Anaïs - 2 - Histoires de Sexe

La vie d'Anaïs - 2

... de honte.

Gisèle me pousse devant elle, les commentaires fusent.

— Ben, dis donc, Louise, elle est sacrément bien roulée ta petite salope, tu ne dois pas t’ennuyer.
— Alors, Gisèle, elle est comment ?
— C’est une bonne jouisseuse, regardez l’état de ma robe. Elle suce divinement, vous devriez l’essayer.
— Tu l’as trouvée où, cette perle ?
— C’est ma locataire. En papotant dans le jardin, ici même, elle me laisse voir souvent sa culotte et ses tétons qui pointent. Et puis un jour, je la surprends dans la buanderie en train de se branler en léchant le fond d’une de mes culottes. Je dois sévir, je lui colle une bonne fessée. Le problème, c’est qu’elle aime ça aussi. Vous voulez voir le film de la buanderie ?

C’est oui à l’unanimité. Nous passons au salon, madame Germain lance le film. Les commentaires reprennent de plus belle.

— Si tu veux, mon avis, Louise, pour faire ça, elle doit être amoureuse de toi.
— Oh, vous avez vu comme elle gicle.
— Il n’y a pas la fessée sur la vidéo, dommage.
— Mais si vous insistez, je peux vous la fesser en direct.

C’est encore oui à l’unanimité. Je sais ce qui m’attend. Je suggère à madame Germain de ne pas me déculotter à cause du plug. Elle me répond avec humour que je ne serai pas déculottée, ouf… Puisque je serai toute nue. Elle fait durer le plaisir. Madame Germain me touche les fesses et la minette devant ses copines, Madame Gisèle joue encore avec mes tétons. Les deux autres s’y mettent. Je dois toutes les embrasser. ...

... Elles me tripotent toutes. Je gémis, je suis à la limite de jouir. Puis, je dois me mettre toute nue devant elles. Mon plug apparaît.

— Oh, regardez, elle a le cul garni, c’est joli, ça lui va bien.
— J’espère qu’elle va avoir les fesses aussi rouges que son bijou.
— Elle a le cul fourré comme une dinde de Noël.
— Quand je pense que je n’ai rien remarqué tout à l’heure…

Je m’installe sur les genoux de Louise, les fesses tournées vers les spectatrices, jambes écartées. Elles sont à moins de deux mètres et doivent bien voir ma minette et mon plug.

— Regardez bien comment je corrige les petites vicieuses. Anaïs, dis-nous ce que tu mérites et pourquoi.
— Oh, madame, je mérite une bonne fessée parce que je montre ma culotte à tout le monde.
— Mais encore ?
— Parce que j’aime être humiliée et que je suis une salope à qui on peut tout faire et tout demander. Parce que je jouis sans arrêt.

La fessée commence, vigoureuse. La nouveauté, c’est que madame Germain s’adapte. Une claque sur la fesse gauche, une claque sur la fesse droite, et une claque au milieu, sur le plug. Je sens la vibration dans tout mon ventre. Je sens ma chatte qui coule. Je crie, mais c’est de plaisir.

— Regardez comme elle dégouline, elle aime ça. Elle est vraiment perverse.
— Vous croyez qu’elle va jouir ?

J’ai les fesses qui brûlent, le plug qui me branle le cul. J’ai envie de crier que je suis une pute, une salope, une enculée. Je me contente de gémir. L’orgasme me terrasse. Je sens des ...