La vie d'Anaïs - 2 - Histoires de Sexe

La vie d'Anaïs - 2

... bordel. Je baisse la tête quand je croise des gens.

Vendredi soir, dix-neuf heures, je suis à l’accueil du centre culturel. Je me suis habillée en petite coquine, jupette très courte, écossaise rouge et noir, culotte blanche, chemisier blanc déboutonné sous les seins, chaussettes blanches, montantes, tennis blanches.

— Tiens, voilà la petite pute qui vient chercher sa culotte. Cache-toi sous le comptoir pendant que le vigile fait sa ronde de fermeture.

Sous le comptoir, je suis en face ses cuisses qu’elle écarte. Elle se caresse la culotte. J’ai envie d’y mettre mon nez, mais… le vigile… Je suis excitée, je mouille.

— Ça y est, il est parti. Suis-moi dans les toilettes et relève ta jupe en marchant, que je voie ton joli petit cul qui m’excite. Tu aimes que je regarde tes fesses ? Tu mouilles ta culotte ? Comment t’appelles-tu ?
— Oh oui, madame, et ça me fait des frissons partout. Je m’appelle Anaïs.
— Moi, c’est Sophie, et mon amie qui était avec moi l’autre jour, c’est Julia. C’est la directrice du centre culturel. Elle va nous rejoindre un peu plus tard.

Pendant le court trajet, nous faisons une pause là où il y a des fauteuils et des canapés, un lieu d’attente ou de discussions. Madame Sophie me tripote la culotte, me caresse, ouvre en grand mon chemisier puis m’attire le nez contre sa culotte. Elle se frotte sur mon visage. Elle écarte le fond de sa culotte sur le côté.

— Allez, petite salope, montre-moi ce que tu sais faire. La dernière fois, je ...

... suis restée sur ma faim. Fais-moi jouir ou je t’arrache les yeux.

Je suis à genoux devant Sophie, en train de la butiner. C’est le moment où Julia, la directrice, nous rejoint. Elle me met directement la main entre les cuisses.

— Eh bien, elle ne perd pas de temps, la petite salope. Elle est trempée. On dirait que ça lui plaît de jouer à la petite pute. J’aime bien sa tenue d’ingénue naïve, l’air de ne pas y toucher. Elle te lèche bien, au moins ?
— Oh oui, elle est douée. Elle va me faire jouir. Allez, catin, mets tes doigts ! Ahhh, Ouiiii, je jouis, elle est bonne.

Je ressors d’entre ses cuisses la figure barbouillée de cyprine, les cheveux mouillés. Fière de l’avoir fait crier. Nous n’entrons pas dans les toilettes habituelles, mais dans un local marqué « réservé au personnel ». Outre les casiers, il y a aussi, un banc central, des toilettes, un lavabo, et une douche. Elles me coincent entre elles. J’ai quatre mains qui me touchent partout, les fesses, la chatte, les seins pendant qu’elles s’embrassent à pleine bouche. Je comprends qu’elles sont ensemble.

— Alors, ma chérie, elle n’est pas bonne notre petite pute ? Je t’ai rarement vue aussi excitée.
— Quelle bonne idée d’avoir été aux toilettes ensemble ! Le hasard fait parfois bien les choses. Profitons-en !
— Anaïs, retire ta culotte et allonge-toi sur le banc, branle-toi pour nous !

Je m’exécute. Madame Julia enjambe le banc et plie les jambes. Elle colle sa chatte sur mon visage et bouge d’avant en ...