La vie d'Anaïs - 2
Datte: 12/07/2025,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
nympho,
fépilée,
jardin,
douche,
fsoumise,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
fdanus,
gifle,
fouetfesse,
confession,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Anaïs Soumise, Source: Revebebe
... dans le salon de jardin. Madame Germain me demande d’aller chercher et de servir les boissons fraîches. Puis je m’assois à côté d’elle, juste en face de Gisèle. J’écarte un peu les cuisses de temps en temps pour lui montrer ma culotte.
Je retourne en cuisine pour chercher des grignotages. Gisèle est dans mon dos. Elle passe la main sous ma jupe et me touche les fesses.
— Oh ! Madame Gisèle, que faites-vous ? vous ne pouvez…
— Tais-toi, petite coquine, tu me laisses voir ta culotte sans arrêt, alors je veux voir de plus près. Relève ta jupe !
— J’ai honte, madame.
— C’est la honte qui te fait dresser tes gros tétons ? Je vais te les croquer.
Je suis troussée, le ventre contre la table en train de me faire peloter le cul quand madame Germain arrive dans la cuisine.
— Ah, petite vicieuse, je te laisse cinq minutes et je te retrouve en train d’allumer mon amie, tu seras corrigée.
— Non, Louise, c’est moi qui l’ai forcée, excuse-moi ! (Tiens, Madame Germain s’appelle Louise)
— Non, j’ai bien vu qu’elle te montrait sa culotte, tout à l’heure. Et puis regarde ses tétons qui pointent. Je suis sûre qu’elle mouille sa culotte, vérifie !
— Ouaouh ! Tu as raison, ça dégouline. Elle cache bien son jeu. Sous ses airs de sainte-nitouche, c’est une belle petite salope ! Tu me la laisses un peu, elle m’excite.
Madame Germain retourne au jardin et me laisse avec Gisèle. Elle relève mon débardeur et m’attrape les tétons. Elle me les tire, les pince, les mord. Quand elle ...
... voit que ma main s’agite sur ma culotte, elle mord plus fort. Je l’embrasse à pleine bouche. Elle me demande de baisser ma culotte. Quand elle voit que ça coule sur mes cuisses…
— On dirait que la petite pute est en chaleur, tu aimes te montrer ? Branle-toi bien, je te regarde.
— Oh oui, Gisèle, regardez-moi ! Je vais jouir. Encore mes seins, plus fort ! Oh que c’est bon. Ahhh ! Je jouis !
— Ah, salope, tu m’as joui dessus, tu es une vraie fontaine, ma robe est trempée. Viens entre mes cuisses, viens me bouffer la chatte, j’ai envie aussi. Montre-moi ce que tu sais faire !
Gisèle s’assoit sur le bord de la table et relève sa robe. Oh, elle n’a pas de culotte. Elle me tient la tête pour donner son rythme. Elle me barbouille de cyprine. Je rentre ma langue et je caresse son clitoris avec mon nez.
— Tu es douée, petite pute, tu dois en lécher souvent, des chattes. Tu me fais jouir. Ahhh, ouiii, je viens. Ouvre ta bouche. Tiens, bois tout, cochonne.
Je remonte ma culotte, elle rabaisse sa robe et nous retournons au jardin. Au moment de sortir, Gisèle me retire ma jupe. Je ne suis plus habillée que de mon débardeur mouillé qui exhibe outrageusement mes tétons et de ma culotte quasiment transparente.
— Oh, Gisèle, je ne peux pas sortir comme ça.
— Mais si, je veux que mes copines te voient comme ça, souillée comme une catin. De toute façon, elles ont entendu tes cris. Et quand elles verront ma robe mouillée… il ne faut pas leur faire un dessin.
— Oh, je vais mourir ...