1. 0314 Des surprises, et quelques imprévus (partie 1)


    Datte: 10/07/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... sensuel. Et l’ivresse de l’avoir en bouche m’a terriblement manqué.
    
    Je le suce, mon regard happé par le blanc immaculé de son t-shirt, mais je le soulève un peu pour découvrir ses abdos à la peau mate, délicieux contraste. Sentir ses ahanements à chaque va-et-vient, à chaque coup de langue, ça c’est un délice indescriptible. Et lorsque ses doigts atterrissent sur mes tétons, et j’ai l’impression de perdre la raison.
    
    « Oh putain, Nico, qu’est-ce que c’est bon ! » je l’entends soupirer. Du coin de l’œil, je vois sa tête partir vers l’arrière, ce qui a pour effet de bomber encore un peu plus ses pecs et de tendre ses abdos d’une façon tout à fait spectaculaire. Je sais qu’à cet instant précis son cerveau est le théâtre d’une tempête de frissons géants. Je sais qu’à cet instant précis, tout ce dont il a besoin est de jouir. Alors, je continue de le pomper sans relâche. Car il me tarde de le voir, le sentir jouir, je veux goûter à son petit jus de mec, je ne peux plus attendre.
    
    « Oh, Nico, je vais jouir ».
    
    Sa queue vibre entre mes lèvres, son gland frémit sous ma langue. Et une salve de bonnes giclées chaudes explose dans ma bouche. Son goût prégnant de petit mâle se répand en moi. Et ses râles de plaisir me donnent le vertige.
    
    « J’ai bien aimé ton détail, fait le bobrun, fripon.
    
    — Moi aussi, beaucoup !
    
    — Tu veux jouir ?
    
    — Pas maintenant, je vais attendre le dernier acte de ton programme pour ça ! »Son sourire est à la fois amusé et sexy à mort. Il ...
    ... s’allume une cigarette qu’il ne fume qu’à moitié, puis il passe à la douche.
    
    Lorsqu’il revient de la salle de bain, son torse de statue grecque est violemment mis en valeur par un t-shirt noir super bien ajusté. Dès qu’il passe l’encadrement de la porte, je sais qu’il porte le parfum que je lui ai offert. Jérém s’approche de moi, et l’intense fragrance qui se dégage de sa peau vrille mes neurones.
    
    « Putain, qu’est-ce que tu sens bon !
    
    — Je t’avais dit que ce parfum est une tuerie.
    
    — J’ai envie de te sauter dessus !
    
    — Tu vois ?
    
    — Pourquoi, tu as envie de sauter dessus à ce mec de ton équipe ?
    
    — Mais ta gueule ! Allez, on va au resto ! »
    
    Avant de sortir, nous passons faire un petit coucou à Albert et Denis. J’aime bien ce petit « rituel » lorsque Jérém vient à Bordeaux. Chez mes voisins, c’est l’un des rares endroits où nous pouvons vraiment être Jérém&Nico, en dehors de l’amour. Les deux vieux hommes nous reçoivent les bras ouverts, toujours aussi accueillants.
    
    « Alors, il paraît que c’est ton anniversaire aujourd’hui ? fait Albert.
    
    — C’était hier, en fait.
    
    — Et tu fais quel âge ?
    
    — Vingt et un ans.
    
    — Vingt et un ans, putain, vingt et un ans ! T’imagine Denis ! Je ne me souvenais même pas qu’on pouvait avoir vingt et un ans !
    
    — Pourtant, on les a eus nous aussi. La télé était encore en noir et blanc et on parlait des francs par millions… et être pédé était un délit, énumère Denis.
    
    — Mais surtout, on ne voyait pas autant de beaux garçons ...
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