0314 Des surprises, et quelques imprévus (partie 1)
Datte: 10/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
Le jour de l’anniversaire de Jérém, en rentrant de mes cours, je me sens très frustré de ne pas pouvoir fêter cette journée spéciale avec lui. Et encore plus frustré qu’il m’ait annoncé qu’à cause de ses engagements sportifs il ne pourrait pas me recevoir à Paris le week-end qui arrive.
Jeudi 17 octobre 2002.
Le lendemain, cette frustration s’est mélangée à un regret lancinant. Je me dis que j’aurais dû tout laisser tomber, monter à Paris et lui faire la surprise. Je me dis que je dois impérativement aller le voir ce week-end, ou lundi. C’est décidé, je vais l’appeler dans la soirée pour lui dire que j’ai trop envie de le revoir et que je vais aller le voir. Ou alors, il est toujours temps de lui faire une surprise. D’autant plus que j’ai sa nouvelle adresse. Oui, j’ai envie de lui faire une surprise.
Je suis en plein dans mes cogitations, lorsque j’entends taper à la porte. Ça y est, le fameux gâteau annoncé par Albert est prêt. Ça tombe bien, je commence à avoir un petit creux. Je baisse le son de la télé, je saisis la poignée, j’ouvre la porte. Et là, je manque de tomber à la renverse. Mon cœur s’emballe, ma respiration se fige. Je suis instantanément en nage, en apnée.
Jérém se tient là devant moi, beau comme un Dieu, habillé d’une chemise à petits carreaux noirs et blancs complètement ouverte sur un t-shirt blanc ajusté à son torse sculpté, mettant bien en valeur ses pecs. C’est quasiment pile la même tenue que sur cette photo de lui prise sur la prairie ...
... des Filtres et qui me rend dingue. A un détail près. Ses pecs et sa virilité ont pris une ampleur qu’ils n’avaient pas au moment de cette photo d’adolescent. Sur son visage, un beau sourire à la fois charmant et doux.
« Salut, il me lance.
— S… salut » je tente de faire bonne figure, alors que je suis en train de me liquéfier sur place.
Le bobrun s’avance vers moi, il me serre très fort dans ses bras et m’embrasse comme un fou. La surprise, c’est lui qui me l’a faite.
Un instant après, le bel ailier parisien me pousse vers l’intérieur de mon studio avec une fougue animale. Ses yeux noirs se plantent dans les miens, et ne les lâchent plus. Son regard charnel me déshabille, comme s’il arrachait mes fringues. Il me fait me sentir nu, et complétement à lui. Le bobrun ne prononce pas un mot. Et pourtant, tout son corps et tous ses gestes parlent de désir, d’ardeurs, d’envies de mâle. Je sens qu’il est chaud bouillant. Je sais de quoi a envie mon beau mâle brun. Je sens que je vais très vite être débordé par sa virilité. En une fraction de seconde, mon excitation grimpe vers des sommets où ma raison flanche.
Je ne me trompe pas. Après avoir claqué la porte derrière lui, Jérém me colle contre le mur juste à côté. Tout en continuant à m’embrasser avec cet enivrement impétueux, volcanique, il empoigne mes fesses par-dessus le jeans, il les palpe avec ses mains puissantes, les malaxe, les écarte. Je sens les parois de mon trou se tendre. Et cette sensation me rend dingue. ...