1. Un séjour plein de souvenirs coquins.


    Datte: 09/07/2025, Catégories: f, fh, hplusag, fplusag, extracon, grosseins, poilu(e)s, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation 69, pénétratio, fdanus, fsodo, jeu, init, nostalgie, Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe

    ... que nous supposons être une belle plante.
    
    Je fais l’achat de quelques spécialités locales introuvables dans ma région. C’est très perturbant pour moi. Maïté ne laisse rien transparaître contrairement à ce matin et Célia fait la petite fille sage, si ce n’est les quelques sourires adressés à des hommes qui visiblement sont charmés par sa silhouette. Comme pour me rendre jaloux, elle échange même quelques mots avec un homme de mon âge qui tente manifestement de savoir si une ouverture est possible.
    
    Le repas du soir est très agréable. Je fais part de mes projets de vacances ou des courses à pied que je compte effectuer. Célia semble un peu triste de me savoir partir. Il est temps que je parte, car je sens bien qu’elle commence à s’attacher à moi au-delà de notre désir sexuel réciproque.
    
    Je dois me lever de bonne heure demain, mon train étant à 7 h 30 et je vais me coucher sitôt le repas terminé. Je vois avec amusement les traces de sperme séché qui maculent la housse de couette.
    
    Après une heure de lecture, je m’endors très facilement, fatigué par ma course et les sollicitations sexuelles de Célia.
    
    Je suis réveillé en plein sommeil par le frôlement de tétons sur mon torse, une main sur ma bouche et le chuchotement de Maïté.
    
    — Chut ! Pas de bruit !
    — Maïté ! Qu’est-ce que tu veux ?
    
    On est souvent très con quand on se réveille brusquement. Mes mains parcourent son corps. Elle est toute nue et sa chatte est déjà toute lubrifiée. De toute évidence, elle n’est ...
    ... pas venue discuter belote ou horticulture. Elle se couche sur moi et contrôle de sa main l’évolution de mon érection.
    
    Je profite de son corps nu, palpant ses seins et ses fesses. Le petit triangle de poils sur son pubis a disparu. Je sens sa vulve trempée et totalement glabre. Mon érection est totale et je place mon sexe à l’entrée de son vagin.
    
    Elle se dégage en chuchotant.
    
    — J’ai une autre idée. Et tu dois mettre une capote. Jean-Jacques m’a baisée et je ne sais pas s’il se protège quand il pratique l’horticulture. Et puis j’ai envie d’une double pénétration.
    
    Elle me tend une capote et surtout un énorme gode en caoutchouc.
    
    — Je n’avais pas de certitude sur le fait que tu nous avais matés ce matin. J’ai ma réponse.
    — J’en ai mouillé toute la journée d’envie.
    — C’est toi qui lui as prêté le petit gode blanc ?
    — Oui et non, je l’avais laissé à traîner dans sa table de nuit. Manifestement, elle l’a trouvé.
    — Elle savait que tu nous matais, non ?
    — Nous n’étions pas complices, mais comme elle est montée dès qu’elle a entendu ta douche couler, il n’y avait pas besoin pour nous deux d’imaginer ce qui allait se passer. Je connais son appétit sexuel et elle sait que je suis voyeuse. N’oublie pas l’intuition féminine.
    — Ton engin monstrueux, j’ai du mal à l’imaginer dans ton cul.
    — Je le veux dans la chatte et ta bite dans le cul.
    — Bien Madame ! Je vais m’occuper de vous.
    
    Maïté s’installe sur le dos, un oreiller sous ses fesses, ce qui surélève son bassin et ...