Un séjour plein de souvenirs coquins. - Histoires de Sexe

Un séjour plein de souvenirs coquins.

... l’effort parviennent à me détourner du désir intense du corps de Célia. Quand je reviens de ma course, personne dans la cuisine, ni dans le séjour et je monte dans ma chambre pour prendre une douche réparatrice.

Trempé de sueur, la douche est urgente. Je pense à la photo de Célia tout ouverte et je saisis ma verge dressée jusqu’à ce que j’éjacule à gros jets dans la douche.

Quand je sors de la salle de bain attenante, j’ai la surprise de voir Célia assise sur mon lit.

Elle est vêtue d’une jupe et d’un haut. À côté d’elle, j’aperçois un gode blanc. C’est un petit gode classique, tout doit d’une quinzaine de centimètres.

— J’espère que la photo t’a plu !

La surprise fait place à l’excitation. Mince, je viens de me branler et cela ne se traduit pas dans l’immédiat par une quelconque érection. Je décide de jouer franc jeu.

— Elle m’a tellement plu que je viens de me branler sous la douche en y pensant.
— Alors il va falloir que je te remette en forme alors ?
— Je pense que oui et j’ai même des idées pour ça. À voir tes tétons poindre, tu n’as pas mis de soutif. Commence à te caresser les seins devant moi.

Curieusement, elle se lève, installe une chaise à côté du miroir et vient se placer au bout du lit.

Les choses se mettent vite en place dans ma tête. Célia et Maïté ont échangé sur notre chaude journée et elle a convenu avec Célia de lui faire profiter de nos ébats. Cela contribue à me remettre en forme. Je suis assez exhibitionniste et ne déteste ...

... donc pas me montrer en action. Je m’assieds donc sur la chaise et décide de guider Célia dans le spectacle qu’elle va donner, à moi en premier lieu et à Maïté qui doit sans doute nous observer dans le cagibi attenant.

— Allez, malaxe tes gros seins de femelle en chaleur, si tu veux que je puisse te faire du bien !

Soulève ta jupe maintenant, oui, comme çà, montre tes jolies cuisses, ma belle.

Pose les talons sur le lit et écarte, Célia. Je veux voir ton abricot, bien moulé dans ta culotte.

Tu as vu ma queue, comme elle se dresse ? Passe la main dans ta culotte et caresse ta chatte. Elle va avoir besoin d’être bien mouillée pour accueillir ma grosse queue.

Tu aimes voir ma queue se dresser ?

— Oui, c’est excitant, je l’imagine entrer dans ma grotte. Je suis trempée. Je vais devoir enlever ma culotte.
— Non, pas encore, j’ai envie qu’elle soit imprégnée de ton sirop ! Pourquoi tu écartes ? Dis-moi ?(J’imagine que Maïté doit mouiller comme une folle aussi en écoutant notre échange, même si elle ne peut voir ma queue pour l’instant.)
— J’écarte parce que je veux que tu possèdes ma chatte ! Je suis une femelle en manque d’une grosse bite comme la tienne.
— Tu dois la mériter, ma bite ! Mets tes grosses loches à l’air. Oui, comme ça ! Ils sont tout durcis, tes gros seins de jeune femelle. Je veux respirer ta culotte tout imprégnée de ton jus. Donne-la-moi… Oui ! Ta mouille sent le désir ! C’est bon ! Reste écartée et astique ton abricot luisant. C’est bon de me ...