1. Questions, espoirs et désillusions


    Datte: 30/07/2019, Catégories: fff, inconnu, profélève, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, tutu, lettre, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... ma fente. Longtemps coincée par la couture du jean — un peu juste je l’avoue, j’ai forci ces dernières semaines – et poissée par la sueur, et par les conséquences inévitables de l’hygiène sommaire du voyage, ma pauvre culotte semble rechigner à se séparer de ma vulve… Il n’y a pas que ça, hélas ! Tu savais très bien quel autre résultat auraient tes allusions, tes sous-entendus, tes discours, tout ce que tu m’as raconté sur ce qui m’attend, et aussi cette longue mise en situation, cette préparation minutieuse de mon exhibition obligée devant ces jeunes femmes…
    
    Mes grosses lèvres, déjà trop épaisses et saillantes par nature, n’ont pas manqué de se gonfler de désir pour devenir carrément proéminentes. Et, bien entendu la source intime de ma grotte – cette belle grotte d’amour comme tu dis si gentiment dans tes messages – a abondamment laissé couler ma cyprine sirupeuse… Oh que je voudrais arrêter cette humiliation, trouver la volonté de remonter mes vêtements, de me rhabiller, de vous planter là ! Oh oui, je le voudrais si fort… Mais je ne le fais pas !
    
    Je me surprends seulement à imaginer quelle vision indécente je dois offrir à toutes ces filles qui profitent avidement de ma déchéance. Je me rends compte que Cyrielle doit avoir le nez tout proche de mes fesses joufflues et molles. Et qu’elle respire… forcément ! Elle ne peut faire autrement que respirer tout près de mon… cul ! Tout près de mon sillon fessier tout imprégné de transpiration … Oh mon Dieu ! Je me souviens ...
    ... de la mise en garde qu’une fille a criée à Cyrielle tout à l’heure… Je crispe mes fesses, dans un espoir inutile de masquer les effluves impudiques. Mais cela n’a pour seul effet que de tendre un peu plus la partie de ma culotte encore enchâssée dans mes fentes, et comme Cyrielle poursuit sans faillir son travail… le fond se retourne par-devant vers l’assistance et par-derrière sous les yeux attentifs de ma soubrette improvisée.
    
    Des larmes de honte coulent sur mes joues. À travers leur brouillard, je vois les attitudes surprises et vicieusement intéressées de mes spectatrices. J’entends leurs raclements de gorges et leurs commentaires moqueurs :
    
    — Mais elle est à torde, cette culotte !
    — Tu as vu sa chatte ?
    — C’est plus une moule, ça, c’est un bivalve !
    — Elle pourrait se retenir un peu, cette grosse cochonne…
    — Et s’entretenir la touffe, non ?
    — Et mettre des protège-slips, aussi !
    — Et Cyrielle, la pauvre, vous y pensez ? Si l’envers vaut l’endroit…
    
    Un éclat de rire général ponctue cette remarque faussement apitoyée. Cyrielle ne peut s’empêcher de s’y joindre. Je me bouche les yeux et les oreilles pour tenter de m’isoler dans ma souffrance. Je ne fais que me concentrer sur l’infâme boule de chaleur qui envahit mon ventre et mon sexe. Je ressens directement les effets de l’humiliation qui durcit mes seins et accélère la lubrification de mon vagin : c’est abominable et délicieux.
    
    Je capitule sans condition. Je me livre aux sarcasmes. J’accepte d’offrir sans ...
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