Questions, espoirs et désillusions
Datte: 30/07/2019,
Catégories:
fff,
inconnu,
profélève,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
tutu,
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... retenue l’obscénité de mon corps. Je repose mes mains sur ma nuque. Je me redresse. J’envoie mes coudes bien en arrière pour hausser mon buste, mettre en valeur ma lourde poitrine. Les tétons doivent marquer le soutien-gorge ; je m’en fiche ; mieux : je l’espère ! Je cambre mes reins pour exposer mon cul à Cyrielle. J’écarte mes genoux pour dévoiler encore plus aux autres – et à toi — mon intimité gluante. Je sais que mes lèvres rose sombre (mes babines, comme disait Danièle) sont bien visibles dans cette position, dépassant et pendant au milieu de la broussaille touffue de mes poils presque roux. Je me plante devant vous, honteusement fière, en te regardant intensément, le cœur tambourinant dans ma poitrine, la poitrine palpitante, les joues empourprée, souriante malgré mes yeux rougis.
J’ai obtenu mon effet : un silence trouble s’est installé. Les filles se regardent entre elles, ne sachant plus si elles doivent se moquer ou s’indigner. Cyrielle est toujours accroupie derrière moi, le visage à hauteur de mes fesses. Je l’écoute respirer profondément. Je pourrais même entendre les battements de ses veines. Nul doute qu’elle soit troublée insidieusement par mon parfum de femme excitée et par le spectacle qu’elle a sous les yeux. Je vois les tiens se poser entre mes cuisses et un sourire fugitif parcourir tes lèvres. J’y réponds d’un clin d’œil complice en comprenant que la jeune stagiaire, avec sa robe légère et courte, doit elle aussi dévoiler dans sa position un petit ...
... slip que j’espère mignon et… humide.
— Ne nous endormons pas, rappelles-tu en ordonnant à Cyrielle de terminer mon dépiautage.
De façon bien plus sensuelle qu’auparavant, celle-ci tire vers le bas mes vêtements. Le fond de ma culotte quitte enfin ma moule (Oui, c’est bien le mot qui convient : le corail de mes nymphes, la mouille qui en coule, l’odeur marine qui se répand…). Un long filet poisseux relie mes lèvres brûlantes et le fond souillé de ma culotte, comme un dernier adieu à ma pudeur. Baissant le tout jusqu’à mes chevilles, la jeune stagiaire n’ignore plus rien de mes secrets. Elle reste penchée ainsi, peut-être regarde-t-elle entre mes cuisses mon entaille éclose et mes poils maculés. Je reste ainsi, largement exposée, debout, les jambes ouvertes, les pieds toujours chaussés de mes baskets lacés.
Combien de temps a pu durer ce moment d’exposition ? Une image me traverse rapidement le cerveau : comme une esclave au marché, mais présentée à la favorite du harem et à ses servantes cruelles… Mon vagin s’humecte derechef de grosses larmes de cyprine, à ma grande honte, à mon grand plaisir, à votre satisfaction amusée. Juste ce qu’il fallait pour rompre le charme. Les murmures reprennent. Les considérations ironiques se développent. La dissipation indocile menace la bonne tenue de tes stagiaires. La confusion et la gêne saisissent à nouveau mon cœur.
Mais voilà que tu romps ce début de brouhaha. D’une voix toujours aussi posée et ferme, tu déclares que maintenant ...