Questions, espoirs et désillusions
Datte: 30/07/2019,
Catégories:
fff,
inconnu,
profélève,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
tutu,
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... en le faisant, on ne sait jamais ! lui conseille une autre, déclenchant une crise de rires que tu réprimes sans conviction.
Je tremble comme une feuille et mon cœur s’emballe. Aussi ennuyée l’une que l’autre de la situation, Cyrielle et moi nous regardons. Son sympathique visage est empreint de compassion, mais elle me fait comprendre d’un sourire désolé qu’elle non plus n’a pas le choix.
Mon premier mouvement a été de retenir ses bras, de l’empêcher de me toucher, de m’y opposer vaillamment. Sa gentillesse me désarme et mes mains retombent sans force. Immobile, flageolante sur mes jambes en coton, je la laisse dégrafer la ceinture de mon jean, descendre le zip, attraper la taille et commencer de faire glisser le vêtement. Dans le mouvement qui l’oblige à se courber, elle dégage mon champ de vision, me permettant ainsi de retrouver ton regard ironique. D’un pauvre sourire j’essaie de te démontrer ma bonne volonté et d’implorer ta clémence : être exposée dans mes dessous me semblerait bien suffisant. Mon regard quémande ton accord. En vain : tu secoues la tête dans un refus railleur et tes lèvres forment silencieusement les mots : « Nue ; TOUTE nue ! » J’en suis désespérée.
Cyrielle s’accroupit progressivement en faisant glisser mon jean. Ses cheveux arrivent déjà sous mon soutien-gorge quand tu l’interpelles vivement :
— Mets-toi donc derrière elle, voyons, tu empêches tout le monde de profiter du spectacle.
Surprise et rougissante, elle suit ton conseil et je ...
... me retrouve face à vous alors que le haut de ma culotte apparaît entre l’ouverture. Sans pitié, tu ajoutes à l’intention de la stagiaire :
— Baisse la culotte en même temps, on ira plus vite !
Pendant que Cyrielle replace ses doigts sous l’élastique ainsi désigné, j’esquisse un faible mouvement des bras pour protéger ma pudeur. Ce qui m’attire immédiatement une remarque acerbe de ta part :
— Puisque tu ne sais pas quoi faire de tes mains, ma chérie, mets-les donc sur ta nuque, tu nous rendras service.
J’obéis humblement tandis que l’air frais commence à caresser mon pubis dont le buisson ébouriffé révèle ses poils longs libérés par les gestes consciencieux de Cyrielle. Tétanisée par ce dépouillement imposé, je tiens mes cuisses serrées pour retarder le plus possible la mise à nu de mon ventre. La petite doit forcer pour faire glisser ensemble jean et culotte sur mes hanches grasses. Elle me murmure timidement, presque tendrement :
— Écartez vos jambes, s’il vous plaît, Madame.
— Ne dis pas Madame, mais Chantal, la reprends-tu sèchement ; Chantal tout court, ça suffira pour l’instant, Cyrielle.
Je l’entends reprendre brièvement sa respiration, comme si elle retenait ses larmes d’être sermonnée sans aménité. À nouveau, mais cette fois en pensant à elle, à ce qu’elle doit s’imposer, j’obéis et déplace mes chevilles pour faciliter sa tâche.
Pantalon et culotte sont maintenant descendus sous mes hanches. Je sens avec horreur que le fond de ma lingerie colle à ...