1. Questions, espoirs et désillusions


    Datte: 30/07/2019, Catégories: fff, inconnu, profélève, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, tutu, lettre, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... lève-toi et déshabille-toi, s’il te plaît.
    
    Quoi ? Mais tu es folle ! Je ne vais pas me mettre nue comme ça, sans avoir eu la possibilité d’au moins me rafraîchir, de faire disparaître les séquelles du voyage, de vérifier la netteté de mes dessous… Je t’explique tout cela d’une voix faible et précipitée qui ne t’attendrit pas du tout, mais qui ramène sur moi l’attention de toutes les filles. J’aperçois des demi-sourires amusés et moqueurs. Certaines pouffent même en se poussant du coude : j’ai dissipé leur gêne en attirant leurs railleries. C’est moi leur centre d’intérêt maintenant. Je me passerais bien de cet honneur !
    
    — Tatata ! répliques-tu, ce n’est pas la première foune odorante que ces demoiselles découvriront, crois-moi. Arrête de te faire prier, Chantal, et mets-toi en tenue de travail. Tes minauderies nous font perdre du temps inutilement.
    
    Et tu ponctues cette injonction d’une tape sèche sur ma cuisse qui m’invite à m’exécuter sans plus de discussion.
    
    Résignée, j’obéis en me levant pour me diriger vers la place que tu m’as assignée en plein centre de tous les regards. Timidement, j’ôte mon chandail, puis mon chemisier que la longue journée autant que l’inquiétude récente a empoissé de sueur. Je me retrouve en soutien-gorge sous l’œil amusé de mon public. Je baisse la tête pour éviter de croiser leurs regards et j’en profite pour inspecter discrètement l’état de ma lingerie. Ouf ! À part une légère auréole sous les aisselles, le soutif apparaît à peu près ...
    ... correct malgré la lourdeur des seins que sa dentelle ne dissimule pas.J’aurais dû m’épiler sous les bras, me dis-je.
    
    Et cette réflexion innocente en entraîne aussitôt une autre, plus déplaisante, à propos de mon pubis. Je me souviens tout à coup que j’ai négligé de tailler sérieusement mon abondante touffe indocile, sur tes conseils d’ailleurs, en comptant sur la promesse que tu m’avais faite de t’en occuper toi-même, en toute amitié bien sûr ! Mes joues s’empourprent derechef et mes gestes se bloquent. Il m’est complètement impossible d’aller plus loin dans mon effeuillage. Les mains posées sur la ceinture de mon jean, je me fige.
    
    — Tu ne veux pas enlever ton soutien-gorge, Chantal ? m’interroges-tu. Tu as honte de montrer tes tétons tout de suite ? ajoutes-tu en souriant. Après tout, ce n’est pas urgent : on peut débuter par le bas. Mais quitte ton jean avant que je me fâche !
    
    La menace n’est pas voilée, mais cette façon de me morigéner sans ménagement devant tes subordonnées augmente mon blocage. Malgré mon désir de te faire plaisir, je suis totalement incapable de t’obéir.
    
    — On ne va pas y passer la soirée, lances-tu, furieuse. Cyrielle, aide donc Chantal. Cela me permettra également de voir tes progrès dans le travail de femme de chambre.
    
    La petite se lève, très embarrassée. Elle s’approche timidement de moi, encouragée par ses aînées ravies de cet interlude impromptu :
    
    — N’hésite pas, Cyrielle, baisse-lui tout ! lancent les unes.
    — Évite de respirer ...
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