Questions, espoirs et désillusions
Datte: 30/07/2019,
Catégories:
fff,
inconnu,
profélève,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
tutu,
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... rien ne s’oppose plus à ce qu’on découvre enfin mes gros seins.
— D’ailleurs, cela permettra à Cyrielle de reprendre une attitude plus décente, ajoutes-tu. Savais-tu, ma petite, que tu nous exhibes ta culotte blanche depuis un bon moment ? Heureusement pour toi que tu en as changé avant de venir, si j’avais aperçu la moindre trace douteuse… Mais nous vérifierons ce point tout à l’heure, sois tranquille, souris-tu. Pour l’instant, sois gentille de te relever et de dégrafer le soutien-gorge de notre amie afin qu’elle respire plus facilement, reprends-tu au milieu d’une symphonie de ricanements discrets.
Au hoquet de Cyrielle qui cherche vainement à masquer sa confusion, je devine que ton allusion a ranimé en elle un souvenir peut-être pas si agréable. En tout cas, je jurerais que sa température a grimpé de deux ou trois degrés d’être ainsi publiquement rabrouée. Elle se relève pourtant. Ses petits doigts soignés s’attaquent un peu maladroitement à l’attache de mon vieux soutif. Émue ou troublée (par ta réprimande ou par le contact de ma peau ?), elle bataille pour séparer les crochets ; on dirait un jeune garçon inexpérimenté, mais peut-être l’est-elle également, après tout. Je frissonne quand ses ongles griffent involontairement ma peau dans sa hâte à t’obéir.
Ça y est ! Le doux étau de mes bonnets se desserre. Ma poitrine libérée se délasse, fugitive impression de bien-être. Mais aussitôt débarrassés de leur contention, mes globes se laissent gagner par leur ...
... pesanteur. Ils s’affaissent sous la dentelle, fluent peu à peu vers le bas. Les mamelons gonflés retardent à peine leur irrémédiable descente. Les tétons dardés tentent de se retenir au bord des renforts. Mais, innocemment trahis par Cyrielle qui s’applique à « faciliter ma respiration » en faisant glisser le dernier soutien des bretelles, mes seins tombent sur ma poitrine, définitivement déshonorée.
Mon humiliation de femme est accompagnée d’une nouvelle rafale de commentaires qui en ravivent la cruauté.
— Pas la peine de se promener avec un airbag s’il doit s’aplatir à la première occasion ! lance l’une des filles.
— C’est pire que Marie : au moins, elle, elle triche pas ! s’esclaffe une autre.
— Des seins comme ça, moi j’aurais honte, compatit fielleusement Magali.
— C’est pas des seins, mais des mamelles, persifle Deborah.
Ma belle assurance s’effiloche au rythme des railleries.
Je me sens ridicule. Le jean tire-bouchonné sur les chevilles, la culotte retournée, tendue par mes jambes écartées, la motte ébouriffée de poils collés en mèches, les lèvres aussi saillantes que gluantes, les seins avachis, leur bout dérisoirement pointé vers le bas, et pour couronner le tout, les baskets que je porte encore, dernières pièces de vêtement qui ne m’aient pas été ôtées. L’ensemble offre un spectacle qui porte à rire toutes les filles, même Cyrielle, même toi…
Toi, dont la voix claque sèchement :
— Tu es pitoyable dans cet accoutrement, Chantal ; et enlève aussi ces ...