Jeux et châtiments
Datte: 07/07/2025,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
jeunes,
oncletante,
fête,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
fouetfesse,
piquepince,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... une fois le sentiment d’humiliation surmonté, le passage par la case clystère n’était pas si désagréable que ça. Elle eut d’ailleurs, après visite aux toilettes et à la douche, l’occasion d’une petite revanche en pratiquant l’opération sur Clémence qui venait de rendre le même service à leur Maîtresse.
Les Sorèles, Maîtresse Irène et Maîtresse Gwladys, comme Jenny, Issa et Aloïse, les Converses, s’arrangèrent entre elles afin de franchir dans la décontraction ce cap indispensable pour affronter les réjouissances à venir.
L’esprit libre et le corps léger, la maisonnée se consacra ensuite aux retouches esthétiques éventuelles, aux bains parfumés, aux arrangements de coiffure, aux maquillages enfin, dont la règle première était d’être de bon ton. Quand vint le moment des habillages, vers dix-huit heures, Clémence s’était déjà éclipsée. Colette n’aperçut que l’élégance des tenues apportées et la présence, surprenante, parmi celles-ci de quelques lingeries et surtout de deux strings.
N’étant pas concernée, de par son statut, par le port de vêtements, elle fut aussitôt renvoyée dans sa chambre. Là, sur la poignée de mètres carrés qui lui était octroyée, sur sa chaise coincée entre le lit de fer et la table bureau, elle trompa son ennui et ses appréhensions en révisant ses cours de littérature. Il n’y avait ni rideau ni volet à la fenêtre qui éclairait la pièce, les réveils matinaux les rendaient inutiles. Il n’y avait ni armoire ni commode pour ranger du linge, à quoi ...
... bon ? Elle vivait nue, dans la maison comme dans cette cellule. La porte d’ailleurs n’en était pas fermée. Pour une raison simple : il n’y avait pas de porte !
À dix-huit heures quarante-cinq, le timbre aigrelet de la salle de réunion sonna le branle-bas. Colette rejoignit les autres pour attendre en silence que paraisse une Ève drapée dans une délicieuse robe de soie dont elle avait roulé la traîne sur son bras. La Maîtresse passa en revue sa suite, ne fit aucune remarque sur l’absence de Clémence mais s’arrêta devant Colette.
— Tu porteras ma traîne. C’est un honneur, Novice. Ne me déçois pas.
— Oui Maîtresse. Merci, Maîtresse. Non Maîtresse.
La Novice avait intégré les principes de base, il n’y avait pas lieu de la féliciter. Ève se détourna pour guetter par la baie l’arrivée de ses invitées. Dès que leur voiture s’annonça, elle descendit le grand escalier, Colette dans son sillage (et dans ses petits souliers, si elle en avait eus). Derrière venaient les Sorèles, précédant les Converses.
Entourée de sa cour respectueuse, la maîtresse de maison vint accueillir ses hôtes dont le véhicule s’arrêtait devant le perron.
— Ma chérie, s’écria la conductrice à peine sortie. Tu nous as fait languir longtemps, vilaine !
— Mes amours ! J’en suis bien contrite, croyez-le, minauda Ève.
Elle enlaça fougueusement la grande dame brune qui le lui rendait avec autant d’affection.
— Ma chère Davila ! Je suis heureuse de te revoir !
— Moi aussi, ma chérie, moi aussi, ...