Jeux et châtiments
Datte: 07/07/2025,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
jeunes,
oncletante,
fête,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
fouetfesse,
piquepince,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... par-dessus la nappe. Ces dames, jeunes et moins jeunes, maugréaient d’avoir à attendre l’accomplissement de leurs vœux, quand bien même elles avaient déjà été servies. La grogne montant d’un ton après le plat de résistance, Ève se résolut à envoyer Clémence en renfort sous réserve que chaque convive pioche elle-même dans l’assiette aux fromages.
Ce compromis adopté, la cuisinière se dépouilla de sa tunique, dévoilant sans honte les traces pourpres et boursouflées dont sa récente punition avait marqué son corps. Puis, insensible aux exclamations admiratives qui saluaient sa constance, elle se glissa à son tour sous la table.
Une bouche de plus, en l’occurrence, n’était pas de trop. À deux, la tache devenait plus facile. Colette et Clémence se partageaient les chattes quémandeuses et pouvaient réduire le délai d’attente des prochaines. Clémence partagea aussi une technique de son secret associant caresses buccales et caresse du pied. Elle massait de sa vulve celui de celle qu’elle mignotait. En adoptant cette pratique, Colette obtint un succès dont ses petites lèvres hypertrophiées – (Mes chers nymphéas ! N.D.L.N.) – étaient le principal atout malgré le cadenas. Une nouvelle tournée s’imposa.
À la vérité, Colette ne comptait plus les cunni qu’elle avait dispensés. Les muscles de ses joues en étaient fatigués, sa bouche endolorie, mais elle continuait avec vaillance, stimulée par l’apparition d’une friandise nouvelle. Olga avait cédé aux affectueuses injonctions de ses ...
... voisines qui l’avaient aidée à dégager ses hanches d’un mignon brésilien (dont la découverte, brandi comme un trophée par Issa, dut faire froncer les sourcils à tante Christine…).
Clémence et Colette décidèrent d’un commun accord de s’occuper ensemble du jeune minou. Chevauchant chacune un peton, elles se relayaient pour lécher et titiller, sucer et aspirer, fouiller et mordiller, ravies de la progression des soupirs suscités par leurs langues. Une idée soudaine leur fit l’une et l’autre enserrer un pied de plus entre leurs cuisses et ajouter une patiente à leurs soins. Pour ne pas la laisser en reste, elles s’autorisèrent à transgresser la règle en se servant de leurs doigts, mais ni Jenny, ni Issa ne le leur reprocha.
La multiplication des sensations eut rapidement raison des ultimes pudeurs de la benjamine, sans doute aussi câlinée dans ses hauts. Elle s’abandonna enfin au paroxysme de ses émois dont l’apogée fut salué par les sourires et les applaudissements de la tablée. Olga s’offrit encore deux ou trois répliques avant que son orgasme ne s’apaise et que ses cris de bonheur ne se tarissent. Attendries et heureuses de leur victoire, les deux goulues échangèrent un baiser barbouillé de cyprine. Et même plusieurs, dont les bruits mouillés alertèrent Ève.
— Il est temps de sortir de votre cachette, Mesdames ! Je suis désolée d’interrompre ces amusements, mes chéries, poursuivit-elle à l’intention de ses commensales, mais j’ai prévu une petite récréation avant que ...