Les malheurs de Clotilde Ch. 09
Datte: 06/07/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... vers quatre heures du matin, on a dormi. Il s'est réveillé une fois, je ne sais pas à quelle heure, mais il faisait jour. Il m'a réveillé et à uriné dans la bouche, avant de me sodomiser. J'ai dû le nettoyer avec ma langue avant qu'on se rendorme.
C'est lui qui m'a réveillée. En me secouant.
- La pute, réveille-toi. Il est treize heures.
J'ai ouvert les yeux. Il est nu, devant le lit. Il boit son café.
- Allez la pute, viens prendre ton petit-déjeuner à la source.
Je sais ce qu'il veut. J'ai envie de lui hurler que je m'appelle Clotilde et pas la pute, le surnom qu'il me donne depuis la veille. Que je suis sa sœur, que l'on est issue du même ventre, du même sang, mais surtout que je ne m'appelle pas la pute. Au lieu de ça j'ouvre la bouche et je prends son sexe mou. J'attends qu'il urine, avalant consciencieusement tout le liquide dégueulasse. Je peux vous le dire, l'urine du matin est vraiment bien plus gerbante et dégueulasse que les autres. Une fois qu'il a fini, je le suce, jusque à ce qu'il jouisse dans ma cavité buccale.
- Bien reste à quatre pattes, la pute.
Il va poser sa tasse, il va prendre une douche. J'entends l'eau couler, j'ai envie d'une douche, j'en ai besoin. Je vais le lui demander quand il sortira. En attendant je garde la position, obéissant à ses ordre, j'ai reçu bien assez de coup la veille pour prendre le moindre risque aujourd'hui.
Quand il ressort nu, je le supplie.
- S'il-te-plaît Pierre, je peux prendre une douche?
- ...
... Non, une chienne comme toi, ça reste sale et pleine de sperme, compris la pute?
- Oui.
Je baisse les yeux, humiliée, il ne m'accorde même pas ça. Je me remets à pleurer, doucement. Mon frère le remarque et sourit.
- Merde, tu chiales vraiment pour rien, la pute!
Je ne réponds pas, baissant juste la tête.
- Regarde-moi quand je suis là à te parler, la pute!
J'obéis, je redresse la tête. Il se masturbe en me regardant. Puis il s'approche du lit, le sexe droit. Au passage, il gobe une pilule, j'ai compris, je vais passer une journée de viol incestueux.
- Mets-toi à plat ventre, tête relevée, jambes serrée.
J'obéis à ses ordre, ils me disent par où il va me prendre : par derrière.
- Je vais t'enculer, la pute. Tant que ton petit cul est encore étroit, car avec tout ce que tu prends dedans, ça risque de ne pas durer longtemps.
Il a raison, d'ailleurs je le sens bien, mon anus n'est plus aussi refermé qu'avant son dépucelage. On ne force plus autant pour me sodomiser, sauf bien sûr quand ce qui rentre en moi est trop gros. Je sursaute quand il me monte dessus et se couche sur moi. Je gémis de douleur et me mets à pleurer plus fort quand il me pénètre, je crie quand il commence à aller-et-venir en moi avec son style si brutal.
Il me sodomise comme un fou. D'une main il martyrise mes seins, de l'autre, il me tire les cheveux en arrière, faisant tenir ma tête droite. Il jouit une première fois en moi, mais il ne ressort pas. Mon frère reste tranquille ...