Les malheurs de Clotilde Ch. 09
Datte: 06/07/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... quelques secondes, puis il reprend son galop sauvage dans mes entrailles. Mes chairs sont tellement à vif, qu'elles me font autant souffrir, suite au frottement du corps du pénis de mon frère, que le viol en lui-même.
Après sa seconde éjaculation, je ne cries plus, je gémis juste de douleur, alors qu'il attaque sa troisième sodomie de suite. Il va tenir parole, il va m'agrandir le cul à ce rythme-là. Mais une fois de plus, alors que je crois avoir atteint le dernier palier de l'enfer, je vais voir qu'il y en a toujours et invariablement un autre en dessous.
Cela fait bien une heure maintenant que mon frangin me sodomise sauvagement. Il a jouit quatre fois en moi, dans mes entrailles. J'ai reçu tellement de sperme que j'ai l'impression que mon ventre est gonflé de liquide chaud et visqueux. Il me démonte toujours le cul, quand la porte s'ouvre. Je crie d'horreur en voyant la personne qui entre.
C'est mon père qui est là. Il nous regarde stupéfait. On n'a pas entendu la porte d'entrée s'ouvrir. Mon père croyant surement que mon frère dort, à dut venir directement dans la chambre. Je suis morte de honte, humiliée. Il me voit me faire sodomiser par mon propre frère. Je voudrais disparaître, me faire toute petite. Et mon monstre de frangin qui continue sa sodomie, ne ralentissant même pas en voyant notre père. Notre paternel reste quelques instants immobile, pétrifié, sans parler. Comme changer en statue. Quand il sort de sa stupeur, ses premiers mots résonne.
- Mais, ...
... les enfants... Vous faîtes quoi?
Mon père flegmatique comme toujours, ne s'énerve même pas.
- Ben cela ne se voit pas? Papa, je l'encule, c'est tout.
La réponse de mon frère me sidère, je n'ai même pas la force de le supplier d'arrêter. Je voudrais lui hurler qu'il faut qu'il sorte, que notre propre père est là, nous regardant baiser. Enfin, le regardant me violer, me sodomiser de force. Faire de moi sa pute, sa chienne. Mais au lieu de cela je ne dis rien, je gémis juste de douleur. - Oui, j'ai vu, mais bon c'est ta sœur quand même!
- Et alors, elle n'a pas une chatte et un trou du cul comme tout le monde? Des orifices bien délicieux, je peux te le dire.
- Oui, c'est vrai, on dirais bien... mais bon... Quand même... Ce n'est pas dans l'ordre des choses...
La conversation me paraît surréaliste, il devrait quand même voir que je ne suis pas consentante. Que je pleures, que mon visage est tuméfié par les coups que j'ai reçu.
- Ah oui? Et c'est quoi l'ordre des choses alors?
- Pas qu'un frère couche avec sa sœur en tout cas.
Mon père semble embarrassé, surtout que Pierre ne s'arrête pas, me sodomisant encore et encore.
Puis mon père me regarde, je baisse les yeux, de honte.
- Puis toi Clotilde, tu es sa grande sœur, tu aurais dut lui dire que cela ne se fait pas. Je te croyais sérieuse, pas le genre de fille facile qui couche avec son frère!
Ce n'est pas possible, il ne voit donc pas?
- Je croyais que tu étais responsable, et au lieu de ça, ...