1. Les malheurs de Clotilde Ch. 09


    Datte: 06/07/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... viols, et en durée d'un coït masculin. Avec ou sans pilules. Après une ou plusieurs éjaculation. Je sais maintenant, pratiquement à la seconde près, combien de temps va durer ce rapport forcé.
    
    Dans le cas de mon frère, je vois qu'il va durer longtemps. Et que ce ne sera pas le dernier. Il est trop méchant dans le forçage de ma vulve pour être calmé par une seule autre éjaculation. Alors il défonce monstrueusement la chose, sa chose, moi. Il me viole avec un plaisir non dissimulé, m'insulte, me mords les seins, me pince, me griffe. Il massacre mon intérieur de son pénis, mon extérieur de ses doigts, de ses ongles, de ses dents. Il tire, tord, tourne mes piercings. J'ai l'impression qu'il m'arrache les tétons, le clitoris, la douleur est infernale, lancinante, méchante. Je suis une victime, sa victime, leurs victime.
    
    Mon frère lui se fiche pas mal que je sois sa sœur. Non, je me trompe, le fait que je sois sa sœur en ajoute à son plaisir, à sa jouissance. Il peut se venger, déverser son fiel, toute la haine accumulée contre moi, au cours de ses années. Et il se venge très bien, avec son pénis devenu arme de destruction massive, enfin plutôt arme de destruction de Clotilde.
    
    Quand son sperme jaillit en moi pour la seconde fois, j'espère, je prie pour que ce soit finit. J'ai un court espoir quand il se retire et s'allonge sur le dos, reprenant son souffle. Alors comme Greg me l'a enseigné, je m'agenouille tout en gémissant de douleur, je le prends en bouche et le ...
    ... nettoie. Une envie de vomir m'envahit, je suce mon frère, c'est plus cela qui me donne envie de vomir plutôt que la fellation en elle-même. Une fois propre, Pierre me repousse, il se lève et va prendre un truc dans la table de chevet.
    
    - Regarde la pute!
    
    Je lève les yeux vers lui, toujours à genoux sur le lit, tandis que le sperme, son sperme coule toujours de mon vagin. J'agrandis mes yeux d'horreur, il vient d'avaler une pilule sexe-dure. Ce n'est pas fini pour moi, il compte me violer, profiter de mon corps une bonne partie de la nuit, si ce n'est toute la nuit. Il se recouche sur le lit.
    
    - Reprends ta pipe, la pute, et va au bout.
    
    Alors, obéissante, je me penche sur lui et entreprend de continuer ma fellation.
    
    J'ai hélas raison, il a passé une bonne partie de la nuit à me prendre. Me défonçant l'anus après ma fellation. Mais c'est mon sexe qu'il a préféré. Les coups aussi, il a bien aimé. Me donnant des petites tapes sur mon nez cassé, ma lèvre fendu, mon œil fermé. Pas forte les tapes, juste de quoi me faire bien mal en réveillant mes blessures. Il m'a fait m'empaler sur lui, par devant ou par derrière, m'humiliant à me violer moi-même, me le disant à chaque fois : Tu pourras toujours te plaindre que je te viole, mais là tu le fais toute seule, comme la putain que tu es.
    
    Il n'est pas allé une seule fois au WC, il s'est servi de moi, ses nouvelles toilettes humaine. Vidant son urine dans ma bouche, m'obligeant à dire à chaque fois que j'adore cela. Puis enfin, ...
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