1. La rencontre


    Datte: 06/07/2025, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... mois…
    — Tu me manques déjà. Tu pars ?
    — Oui, en Bretagne, chez mes parents.
    — Au bord de la mer ?
    — Pas du tout, au milieu des terres, à Saint Servais. Ils y sont paysans.
    — Jamais entendu parler…
    — C’est tout petit, pas plus de deux mille habitants. C’est à côté de la base de Landivisau.
    — Ah oui, ça j’en ai entendu parler. C’est loin de la mer ?
    — Pas tellement, ça dépend. Vers Brest on atteint vite le bras de mer de Landernau, mais je préfère la côte nord, vers Roscoff, l’île de Batz, ou Carantec… Mais rassure-toi, au mois d’août, je serai toute à toi, sans enfant, il sera avec son père. Tout un mois d’amour, en dehors du boulot, bien sûr.
    
    Elle glisse une main sous son ventre et guide le gland durci vers sa grotte humide, s’empalant d’un mouvement lent de tout son corps.
    
    — Et toi ? Que vas-tu faire en m’attendant ?
    — Hum… je ne sais pas, j’hésite… Madère… les Baléares… ou peut-être… ah oui tiens, les Marquises !
    — Ha ha ! Plaisantin !
    — Pas du tout, je vais me mettre le CD de Brel, « les Marquises », en boucle !
    
    L’après-midi, il l’emmène visiter les ruines de l’ancienne citadelle, en grimpant simplement le raidillon qui passe le long de sa maison. Elle a apporté dans son petit sac un short en éponge, un débardeur et une paire de baskets, au cas où il l’emmènerait jardiner. Elle enfile tout cela devant lui, ne mettant ostensiblement rien en dessous, agréable provocation. Ils ne croisent que deux ados dévalant à toute allure les cinq cents mètres de ...
    ... pente raide, se terminant par une volée de marches usagées.
    
    — Ouf ! Mais ça valait le coup, dit-elle haletante. C’est ce qu’on appelle un paysage à couper le souffle !
    — Oui, c’est ma terrasse en somme.
    — C’est ça, en route vers le septième ciel. En tout cas c’est aussi fatigant que de faire l’amour.
    
    Elle s’appuie sur le muret consolidé à la chaux dominant toute la vallée. Une légère brise évapore leur sueur et donne une sensation de fraîcheur à l’ombre des vieux platanes poussés là on ne sait trop comment. Il s’approche d’elle par-derrière et pose ses mains sur ses hanches, puis les fait virevolter à la surface du débardeur, bientôt déformé par les tétons érigés.
    
    — Arrête ! Je vais marquer mon petit short en éponge.
    — J’ai envie de toi, là, tout de suite.
    — Tu es fou ! On pourrait nous surprendre, nous voir.
    — Il n’y a qu’un chemin et on peut voir arriver d’ici.
    — Mais on voit toute la ville. Donc avec des jumelles, n’importe qui peut nous mater !
    — Bien sûr, les gens passent leur temps à ça, regarder cette terrasse avec des jumelles.
    — Il est fou ! Tu es fou, mais j’aime ça.
    
    Il glisse ses deux mains dans le petit short, le forçant à s’abaisser en pétrissant les fesses désormais offertes. Il la prend sans ménagement. Sans talons, elle est plus petite et il la décolle du sol à chaque coup de bassin. Elle jouit rapidement, violemment. Avant qu’il ne vienne aussi elle hoquette :
    
    — Donne-moi ta liqueur à boire, j’adore ça.
    
    Elle lui offre son second orgasme ...