1. Aristide s'il te plaît !


    Datte: 05/07/2025, Catégories: fh, Humour Collègues / Travail Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... un râle lourd.
    
    — M’mm… Aristide… Tu me fais faire n’importe quoi…
    
    Le corps d’Aristide se raidit et il explosa après un nouveau râle. Mademoiselle Lajoie, la langue tapissée de liqueur recula aussitôt son visage et emprisonna plus durement la grosse hampe dressée entre ses seins. Deux longs jets épais et laiteux s’échouèrent sur sa peau douce, tandis qu’Huguette faisait coulisser doucement sa proie dans la vallée qu’Aristide venait d’explorer.
    
    — Oh, Huguette chérie… Tu es… Merveilleuse…
    
    Les immenses yeux d’un bleu profond semblaient voilés. Barbarella, regard braqué sur sa poitrine emprisonnant le sexe de son amant, laissa échapper un drôle de gémissement. Elle paraissait toujours être bercée par la jouissance.
    
    — Ma chatte est toute mouillée… Mes seins arrosés de ton foutre… C’est terriblement excitant…
    
    Après avoir remis de l’ordre dans sa tenue et s’être rafraîchie dans le cabinet de toilette privé de son supérieur, Huguette était venue s’asseoir sur les genoux de son cher Aristide.
    
    — Tu me rends folle, mon Ari…
    — Tu es merveilleuse, ma chérie.
    
    Un regard énamouré et Barbarella poussa un profond soupir.
    
    — Tu me rends ma culotte et mon…
    — Pas question !
    — Aristide… s’il te plaît !
    — Tu ne trouves pas ça un peu excitant ?
    
    Un instant, Huguette resta coite mais la rougeur de son visage trahissait l’émotion qu’elle voulait cacher.
    
    — Si… Un peu… Mais ce n’est pas le moment…
    — Pourquoi ça ?
    — Oh… S’il te plaît Aristide ! Tu sais très bien ...
    ... pourquoi ! Tu ne cesses pas d’énerver le vieux Glandu et d’agacer tes associés ! Et moi j’entends toutes les saletés qu’ils disent tous sur toi, alors…
    — On s’en fiche !
    — Non, pas moi ! Aristide… Je suis sûre que ça m’exciterait beaucoup d’être nue sous mes vêtements. Je le sais, va… Alors, cesse tes gamineries et je serai toute nue tous les jours !
    — Je ne te crois pas !
    
    Les lèvres pulpeuses de Barbarella se posèrent sur celles d’Aristide.
    
    — Promis ! Tu le sais déjà que ça m’excite… Non ?
    — J’en ai bien l’impression en effet.
    — Alors… Sois gentil avec moi… Tu veux bien m’écouter ?
    — Oui. Je t’écoute.
    — Tu arrêtes tes idioties. Tous ces imbéciles fermeront leurs clapets. Et l’ambiance s’améliorera très vite. Je serai soulagée. Et donc…
    — Et donc ?
    — Et donc… Peut-être que tu auras droit à mes seins nus sur ta queue de temps en temps…
    — Oh oh !
    — Promis…
    — Bien…
    — C’est d’accord, mon chéri ?
    — C’est d’accord. J’adore te savoir nue sous ta jupe…
    
    Après un petit baiser, Huguette avait souri et avait quitté les genoux accueillants de son amant.
    
    Huguette s’apprêtait à quitter le bureau quand la voix d’Aristide interrompit sa marche.
    
    — Cet après-midi ?
    — Pardon ?
    — J’aurai tes seins ici cet après-midi ?
    
    Barbarella rougit cette fois plus violemment. Ce petit jeu l’avait réellement chahutée. L’image de son fruit imbibé de jus et les émotions éprouvées alors réchauffèrent aussitôt son ventre.
    
    — À une condition ! Tu cesses tes idioties immédiatement ...
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