1. Aristide s'il te plaît !


    Datte: 05/07/2025, Catégories: fh, Humour Collègues / Travail Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... devoir de femme amoureuse. Un devoir par ailleurs très plaisant.
    
    Accroupie entre les cuisses dénudées de son cher Ari, Huguette caressait le plus beau des trois pénis qu’elle n’avait jamais connus. La plus excitante de ces trois queues, et surtout, la plus grosse. Une hampe lourde et tendue comme une lance. Quand la première fois, elle s’était retrouvée avec ce membre en bouche, elle avait immédiatement trempé sa culotte. Une première expérience qui lui prouvait que sucer une belle bite l’excitait. C’était ainsi qu’avait parlé son amie Paulette, en lui confiant qu’elle avait adoré sa première fellation.
    
    — J’ai envie de sucer ta…
    — Moi j’ai envie de tes seins sur ma queue, ma belle.
    
    La surprise fit se hausser les sourcils naturels de la jolie secrétaire. Un charme de plus pour Aristide, à l’heure où la grande majorité des femmes suivaient une mode idiote, et saccageaient les leurs.
    
    — Mes seins ?
    — Viens là… Approche !
    — Mais…
    — Suce-moi, ma chérie.
    
    Sitôt dit sitôt fait, même si la belle secrétaire restait un peu perdue. Ses lèvres sensuelles engloutissant le gland perlant de rosée, elle se posait encore la question de savoir ce qu’avait voulu dire son amant.
    
    — Maintenant, tu viens contre moi… Tes seins sur moi… Oui… Voilà… Et tu les…
    — J’ai compris…
    
    Barbarella, non seulement avait compris, mais éprouvait une réelle excitation à regarder ses seins enserrer la belle queue de son amant. Huguette savait qu’elle avait de beaux seins. Elle en était ...
    ... consciente, sans pourtant en faire tout un plat. Et cette manière de procéder pour satisfaire son amant lui plaisait énormément.
    
    — Oh Huguette…
    
    Huguette frottait ses pointes érigées sur le membre dur. Elle faisait peser les deux gros globes fermes sur la queue tendue. Puis, sous le coup d’une inspiration subite, elle se pencha et avala une nouvelle fois la verge dressée.
    
    — Oh ! Ooh, ma chérie…
    
    Un petit moment, Barbarella suça son homme, enserrant son chibre glorieux entre ses seins ronds et lourds, puis n’y tenant plus, elle abandonna sa fellation.
    
    — Prends-les, toi… Ça m’excite trop…
    
    L’espace d’un instant, une dure frustration agaça Aristide. Puis son excitation fit un bond de comète quand il comprit ce que désirait sa compagne. Jupe relevée sur le ventre, main droite entre les cuisses, Huguette se caressait.
    
    — Oh, c’est bon… Je vais jouir…
    
    Les lèvres d’Huguette étaient restées sur le membre qu’elle suçait le temps qu’elle lâche ses quelques mots. Puis la bouche sensuelle avait repris son si excitant manège.
    
    Aristide, les seins de Barbarella en mains, les écrasait doucement contre son sexe prêt à exploser. La main libre d’Huguette pesait sur la sienne et la belle secrétaire ahanait doucement, laissant sa superbe poitrine danser contre sa queue.
    
    — Oh, Huguette chérie…
    — Je jouis, Ari… M’mmm…
    
    Les yeux rivés sur ce qu’Aristide voyait comme les plus beaux seins du monde, il pressa plus fermement les deux globes de chair sur son membre, et laissa filer ...
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