Les nuits d'Afrique #1 - Cotonou
Datte: 03/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Lookingforvenus, Source: Hds
... Marine, ni avec Perle de lycée. C’était pour Marine et moi, jusqu’à ce jour, une étape préliminaire, que nous esquissions sans grande virtuosité, un truc que nous avions l’un et l’autre vu dans des films pornos et que nous essayions de reproduire maladroitement. Une étape un peu fun, jamais une fin en soi. Cette nuit-là, les seins de Marine étaient étonnamment lourds et totalement trempés, ils se dressaient vers moi comme une éclatante fleur. Mon sexe était quant-lui très gonflé, et j’étais prêt à tenter une nouvelle expérience dans ce lit en bois massif, pour notre première nuit sur ce continent inconnu, celui de tous les possibles. Marine savait très bien ce qu’elle voulait, après avoir joui bruyamment, elle voulait me récompenser et elle avait bien l’intention que je me branle entre ses seins. Pour la première fois, j’éprouvais du plaisir à ce coulissement, mon sexe était réellement prisonnier des seins de Marine et elle m’invita à aller plus fort, plus vite. Ses mains pressaient ses seins qui pressaient mon sexe, c’était une sensation délicieuse que je n’avais jamais réussi à éprouver auparavant, Marine semblait quant-à elle satisfaite de la communion entre mon sexe et sa poitrine. Je jetais mon sexe vers l’avant, sa poitrine le freinait, faisant pression et frottement, le terme de branlette n’était donc pas usurpé ! Pour jouir, il fallait un mouvement puissant partant de mes fesses, relayé par mes hanches, glissant par ses seins. Et ces seins étaient un terrain de jeu ...
... parfait, pour le jeu que Marine souhaitait nous faire jouer. J’accélérais encore, je lançais à Marine une banalité du genre « j’adore tes seins ». Je n’aurais pu en dire plus, Marine, elle si à l’écoute des besoins sexuels quasi-quotidiens de son amoureux, si ouverte sur des tas de propositions inspirées du porno, parfois violentes, ne tolérait en revanche aucun écart verbal de ma part pouvant s’apparenter à de la vulgarité. Quelques mois plus tôt, alors que sa bouche aspirait mon sexe avec ardeur, j’avais maladroitement lancé un encourageant « pompe moi salope ! » qui l’avait stoppée nette, elle me lança un regard noir, observa une grève du sexe de trois jours et me fit promettre de ne plus jamais recommencer.
J’eus soudain la sensation que j’allais jouir entre ses seins, j’accélérais encore d’un cran, ses seins ayant l’effet de me branler frénétiquement, j’avertis Marine que j’allais enfin jouir, elle redressa la tête pour me voir éjaculer, et j’aspergeais d’un jet violent et abondant, ses rondeurs, son sillon, sa gorge et jusqu’à ses lèvres. Mon sperme, sous l’effet de la chaleur était lourd et visqueux, il se mêlait à la sueur qui recouvrait l’intégralité de nos corps. Marine étala ce magma un peu partout, sur mes fesses, sur mon torse, à mon tour j’étalais ma semence sur sa poitrine, sa gorge. Elle léchait mes doigts pour goûter cette sauce épicée, puis m’embrassait craignant que je ne participe pas à la dégustation. Nous étions maintenant là, sur ce lit massif, dans ...