Les nuits d'Afrique #1 - Cotonou
Datte: 03/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Lookingforvenus, Source: Hds
Les Nuits d’Afrique # 1 – Cotonou
Merci pour vos retours à l’occasion de mes deux premiers récits, n’hésitez pas à m’écrire directement, cela m’encourage à publier une mini-série sur quelques nuits brûlantes en Afrique. Ces trois ou quatre récits sont quasiment autobiographiques. Aujourd’hui, je vous confie le récit de ma toute première nuit agitée à Cotonou. Comme j’ai vécu plusieurs années sur le continent africain, s’il vous en plait, il sera suivi de quelques nuits parmi les plus intenses de ma vie.
C’était une frontière que je n’avais pas franchie. Ou plus précisément que je n’avais pas osé franchir. Depuis plus de 3 ans que je vadrouillais en tant que coopérant, dans plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest, moi, l’étranger, je n’avais jamais encore partagé ma couche avec une fille à la peau marron ou noire, comme toutes les filles de ce pays.
Pourtant, depuis ma première nuit à Cotonou, je n’avais que 20 ans, j’adorais les nuits d’Afrique.
Cette première nuit, je l’avais passée avec Marine, ma copine d’alors. Ou devrais-je dire, pour être exact, mon amoureuse. Nous venions tout juste d’atterrir le soir même pour une mission de solidarité internationale de 3 mois que nous avions décidé de vivre ensemble. Après les émotions du voyage, les très longues formalités, les premières flashs d’une capitale traversée nuitamment, blottie dans l’obscurité, quoique éclairée de lanternes à chaque échoppe, nous nous étions retrouvés dans un hôtel plutôt confortable du bord ...
... de mer. Trop excités par notre aventure, harassés par la chaleur humide, nous n’arrivions pas à dormir et nous écoutions les bruits de la nuit dans cette capitale d’Afrique : des croassements continus, le chant d’un oiseau de nuit, le klaxon d’une moto, les aboiements de chiens en meute, le claquement des vagues au loin, le ronronnement du ventilo qui empêchait le bourdonnement des moustiques et couvrait nos chuchotements. Allongés sur le dos, nous contemplions en silence et les yeux grands ouverts le plafond et la régularité du mécanisme du ventilateur. Il couvrait notre émotion d’être là, tous les deux, à moitiés nus et humides. Marine transpirait de partout. Elle avait des seins superbes, que beaucoup de nos amis, hommes et femmes, reluquaient ou jalousaient. Moi qui y avait un accès facilité et illimité,, j’aimais m’y perdre, m’y blottir, les lécher, les téter, les chérir. Mais ce soir-là, sa poitrine pleine de vie semblait souffrir de la chaleur et elle était juste trempée. Ma main gauche vint se poser sur son ventre mouillé, puis remonta jusqu’à ses seins aqueux, je mesurais que nos corps s’étaient déjà transformés au contact de l’Afrique, nous allions donc découvrir d’autres bruits, mais aussi d’autres odeurs et pourquoi pas d’autres sensations ? Puisque nous ne dormions pas, autant profiter à fond de nos jeunes corps trempés ! Marine était à l’aise avec ma suggestion nocturne. D’une manière volontaire et décidée, elle déploya une première main dans sa culotte pour se ...