Les petites stagiaires; Amandine I,2
Datte: 02/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Exorium, Source: Hds
... ferait tout pour ça.
– Mais non ! Bien sûr que non ! C’est pas du tout son genre.
– Ben, tiens ! On voit que vous connaissez pas les femmes, vous ! Bon, mais allez ! Vous avez raison. Faut aller dormir.
Elle a regagné sa chambre. Et moi la salle de bains. Je finissais de me brosser les dents quand elle y a surgi, en coup de vent, vêtue, en tout et pour tout, d’une petite culotte affriolante couleur parme et d’un soutien-gorge assorti.
– Vous n’avez pas vu mon portable ? Ah, si ! Si ! Il est là. Non, parce que si je l’ai pas pour me réveiller.
Jessica, à qui j’ai raconté tout ça, était ravie pour moi.
– Ah, le poisson est ferré, on dirait. Il n’y a plus qu’à le ramener en douceur sur la berge. On va s’y employer. »
On déjeunait, selon notre bonne habitude, tous les deux dans la cuisine.
« Eh ben dites donc ! Faut vraiment que tout le monde en profite, quand elle jouit votre Jessica, hein !
– Il y a des moments où on ne maîtrise plus rien. T’es bien placée pour le savoir.
– Oui, mais moi, je fais pas tant de raffut.
– T’as qu’à y croire ! T’es dix fois pire.
– Ben, voyons ! Non, sérieux. C’était quoi la raison pour qu’elle couine comme ça ...
... ? Vous lui broutiez le minou ?
– T’es bien curieuse.
– Oh, tu parles ! C’est pas un secret d’État.
– C’est pas son truc, les cunnis.
– Ah, oui ? C’est quoi son truc alors ?
– Que je la caresse, avec mon bout, sur le clito. Et puis tout au long de sa chatte. Longtemps.
– Vous cachez bien votre jeu, vous, hein, finalement ! Parce que vous en êtes de la comédie. Jamais on croirait à vous voir comme ça.
Le surlendemain, sur le coup de sept heures un quart, elle a surgi, tout échevelée, dans la salle de bains.
– Vous l’avez pas entendu que j’étais pas levée ?
– Non. Je te croyais dans la cuisine.
– Je me suis pas réveillée. On va être à la bourre, ça, c’est sûr ! Ça vous ennuie si je me douche pendant que vous vous rasez ?
Elle n’a pas attendu la réponse. Elle s’est débarrassée du pyjama. Le haut. Le bas. A escaladé le rebord de la baignoire. Et, dans la glace, j’ai eu ses seins en pente douce. Si délicieusement seins. Ses fesses. Bien fermes. Généreuses. Son petit fendu. Tout lisse. Pudiquement refermé sur ses trésors.
Jessica a hoché la tête.
– Cette fois tu touches au but. Tu touches vraiment au but. Et si tu ne commets pas d’impair… »