Les petites stagiaires; Amandine I,2
Datte: 02/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Exorium, Source: Hds
Pour Jessica, ça ne faisait pas l’ombre d’un doute : j’étais amoureux d’Amandine.
Toute l’après-midi tu n’as fait que me parler d’elle. Et Amandine par ci. Et Amandine par là. T’es complètement accro, mon cher.
– Amoureux ? Je sais pas. Peut-être. Ce qu’il y a de sûr en tout cas, c’est qu’elle me rend fou. C’est que j’ai envie d’elle comme j’ai jamais eu envie de personne.
– C’est sympa pour moi, ça !
– Mais non, mais…On était sortis ensemble, Jessica et moi, une quinzaine d’années auparavant. Ça avait duré six mois et puis on s’était lassés. Quittés. Elle s’était mariée, avait divorcé, repris contact avec moi. Et on se retrouvait, de temps à autre, pour tailler une petite bavette. En toute amitié.
Pour elle, il n’y avait pas trente-six solutions.
– T’as envie d’elle ? Eh ben couche avec ! C’est encore ce qu’on a trouvé de mieux dans ce genre de situation.
– Oui, ben alors ça ! Elle a été très claire là-dessus : je suis trop vieux.
– Ramènes-en une autre. Éclate-toi avec. Et je te parie que dans quinze jours elle aura changé d’avis. Les femmes, tu sais, dès qu’il y a de la concurrence…– Toi, je te vois venir.
– J’ai toujours aimé rendre service.
– Surtout quand tu y trouves ton compte.
– Pour être tout à fait franche, c’est carrément le désert pour moi côté cul en ce moment. Et avec toi, je connais. Je sais comment ça se passe. Alors…– Alors… Oui. Oui. Elle n’est pas si mauvaise ton idée finalement. À tous points de vue.
– Et tu ...
... connais le proverbe : faut battre le fer tant qu’il est chaud.
– Ben, voyons !
Dix minutes plus tard on était chez moi.
– Laisse-toi faire ! Laisse-moi faire !
Elle m’a arraché ma chemise, s’est emparée de mes tétons qu’elle a tour à tour agacés entre ses dents. Sa main s’est faufilée dans mon pantalon, a tâté, soupesé.
– Elle n’a pas changé. Toujours aussi consistante. Dès qu’on la sollicite un peu ! Allez, on met tout ça à l’air.
Elle s’est penchée dessus, m’a longuement mordillé la peau des couilles, est remontée, peu à peu, à petits coups de langue précipités, tout au long de ma queue qu’elle a décalottée, dont elle a englouti le bout entre ses lèvres. Elle l’a savamment enveloppé, interminablement poli. Elle s’est redressée d’un coup.
– Je peux plus… J’en peux plus…Et elle m’a escaladé, enfourné, impatiente, dans sa chatte, chevauché à grands coups de reins éperdus. Elle a joui. On a joui. Très vite. Tout est retombé.
– Quand même ! Quand même, hein ! On peut bien dire ce qu’on veut, mais il y a rien de tel qu’une bonne partie de jambes en l’air. »
Le vendredi suivant, au retour de ses quinze jours à l’école, Amandine a constaté.
‒ Il y a une femme qu’est venue.
– Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
– Les affaires dans la salle de bains. Il y en a qui sont pas à moi.
– Elles sont à Jessica.
– C’est qui, celle-là ?
– Une amie.
– Elle va revenir ?
– Si elle a laissé ses affaires…– Quand ? Ce soir ?
– Je sais pas. ...