1. Caroline


    Datte: 02/07/2025, Catégories: fh, fffh, extracon, groscul, vacances, pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... attendre que je revienne avec les enfants. Alors on était toujours ensemble, pendant quinze jours. Ça crée des liens, on s’est fait des confidences…
    — Et alors ?
    — Ben alors, j’en ai appris un peu plus sur vous…
    — Mais encore ?
    — Votre façon de vivre… à trois. Je n’ai rien à en redire et je ne vais pas le colporter.
    — J’espère bien.
    — Elle m’a raconté son veuvage, sa période de déprime, sa sœur adorable qui l’a sortie de là en la prenant chez vous, et puis vous.
    — Quoi moi ?
    — Un amant fantastique paraît-il, qui rend deux femmes très heureuses et comblées sur le plan sexuel. Outre toutes vos qualités de chef d’entreprise, le décor japonais que vous avez créé pour elles, et tout ça…
    — Oui, enfin c’est plutôt Mahoko qui a tout dessiné et guidé les entreprises.
    — Peut-être, mais vous avez accepté tout cela et vous les rendez heureuses. Elles ont beaucoup de chance. C’est un peu pour cela que je parlais de « baisodrome », en pensant à une grande chambre un peu à l’écart où vous pourriez vous ébattre à trois en toute liberté et discrétion. Votre étage, en somme, avec dressing, grande salle de bain avec baignoire à remous pour trois, grande douche à l’italienne… Vous savez, avec la place perdue à cause des sous-pentes, ce pourrait être votre étage, réservé aux adultes.
    — Eh bien, je ne m’attendais pas à ce qu’elle vous ait fait toutes ces confidences. Mais, vous savez, cet « arrangement » familial ne prouve pas grand-chose. Ça m’évite juste de prendre trop de ...
    ... maîtresses…
    — Tout de même, je serais… curieuse de tester l’étalon que l’on m’a décrit…
    
    Elle se blottit alors contre moi et sa bouche cherche la mienne. Merci Yüko ! Je vais enfin pouvoir admirer de près la lune convoitée et tenter un alunissage au fond de ses cratères. En fait, elle me déçoit un peu. Oh, ce n’est pas qu’elle n’exprime pas une voracité sexuelle tout à fait comparable à celle d’Annie, mais en plus sain et sans chichis. C’est plus sur le plan esthétique que je ne lui donne pas la moyenne. Certes, elle est balaise, épaisse et solide comme une Nordique. Mais elle a en plus cet enrobage de la « génération MacDo », ce côté dodu et un peu mou qui provoque cellulite et peau d’orange. Pas sur son prodigieux fessier lorsqu’il est tendu par la posture de la levrette, mais juste au-dessus de la pliure du genou. Pareil pour ses seins qui, à cet âge, devraient se dresser fièrement avec arrogance. Eh bien non, ils tombent comme des boules de bowling dans des sacs de nylon. Désolé, mais je suis habitué à mieux. Bon, j’y trouve tout de même mon compte, elle aussi, apparemment, mais l’esthète en moi se rebelle. Je repense à Édouard, un chirurgien esthétique aurait du boulot. Elle n’a pas l’air de s’en soucier le moins du monde, ne barguigne pas à tout bout de champ « ah, je devrais maigrir », non, elle est comme elle est et s’en moque. Quelque part, tant mieux. Vers huit heures trente, son portable joue du clairon.
    
    — Ah merde, merde, merde, je vais être en retard !
    — Tu bosses le ...
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