Caroline
Datte: 02/07/2025,
Catégories:
fh,
fffh,
extracon,
groscul,
vacances,
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... plus penser, je le jure, au gros cul de Caroline, la petite baby-sitter. On finit par s’habituer à elle, nos filles surtout qu’elle a totalement charmées. C’est bonheur que de les lui confier, de les retrouver sages et heureuses de vivre, ayant toujours plein de choses à raconter. Caroline est habituée à tout gérer par son métier et en plus connaît le coin comme sa poche. Promenades, tours de manège, visites de l’aquarium et de la chocolaterie quand il fait mauvais, elle s’occupe des goûters, des transports, bref, de tout. Je la récompense avec générosité, et ces après-midi de liberté nous font beaucoup de bien. Cependant, il faut bien reconnaître que, s’il n’y avait pas la vue, notre maison ne serait pas très pratique, mal conçue, d’une autre époque. La cuisine est immense, agencée en périphérie autour d’une table centrale où l’on avait l’habitude, autrefois, de prendre les repas en famille. Ça, mes petites Japonaises ne comprennent pas, ce n’est pas dans leur culture, habituées qu’elles sont aux cuisines-couloirs, très étroites avec tout sous la main, et une ouverture sur le coin repas de la pièce à vivre. Nous avons bien une salle à manger, mais petite et complètement séparée du salon qui, lui, s’ouvre sur le jardin et la rue. Pas la peine d’avoir trois superbesbow-windows donnant sur la côte bretonne, sur les îles Chausey et sur le port et la pointe du Roc pour ne pas en profiter pleinement. Casser des cloisons, en remonter d’autres, ça peut paraître simple a priori. ...
... Cependant, je crains qu’entre salon et salle à manger il n’y ait un mur porteur, sans porte de communication il faut repasser par l’entrée qui se prolonge par un couloir accédant à la terrasse. Et ça, on ne le casse pas impunément. Une simple porte serait peut-être envisageable, mais n’apporterait que peu de confort en plus. Non, ce qu’il nous faudrait, c’est un grandliving traversant avec accès direct à la terrasse exposée plein sud. Il faut consulter un homme de l’art, mais mes coups de fil restent vains, ce n’est pas la bonne période. Alors nous nous contentons de quelques croquis incertains reflétant grosso modo nos envies.
Les vacances d’été se terminent pour Mahoko et moi, nous repartons au boulot en laissant Yüko, aidée de Caroline, avec les enfants. Nous revenons les chercher le dernier week-end avant la rentrée, l’occasion pour moi d’aller payer Caroline pour ces derniers quinze jours de prestation, augmentée d’une confortable gratification bien méritée.
— J’espère qu’on pourra compter sur vous aux prochaines vacances ?
— Ma foi, ce sera de bonne grâce. Je suis bien récompensée pour peu d’efforts : Naomi et Nina sont si mignonnes. En pour, je passerai régulièrement voir si rien ne cloche dans votre villa, j’ai votre numéro.
— Bonne idée. Tenez, je vais même vous laisser une clé. Comme ça, si vous voulez y venir le week-end pour profiter de la vue… Ce n’est pas une critique pour votre appartement.
— Pourquoi pas, merci beaucoup. N’ayez crainte, je n’y amènerai ...